
Rien que l’intitulé de votre article, renseigne pleinement, Monsieur
Ould Salek,
de vos intentions, ou plutôt des intentions de ceux qui se cachent
derrière ce prête nom (du reste connus) à profiler des intoxications
dont les auteurs, les investigateurs et mêmes les receleurs, sont
profondément habités par la hantise et l’alchimie de s’attaquer et de
porter préjudice aux personnes ayant parvenu à se frayer leur propre
chemin de succès, exactement comme
Oudaâ.
A en croire, comme vous le dites,
« que Oudaâ manque cruellement de jugement »
(ce qui, déjà, n’a pas de sens), vous à votre tour, vous ne manquez pas
de jugements (au pluriel) mais que de jugements de valeur !
En
effet, toutes vos allégations ne sont que mensongères et comme telles,
ne peuvent à aucun titre, affecter la bonne posture de brillant cadre
(les résultats réalisés par la
Snim en attestent éloquemment)...
... de fin Administrateur (satisfaction généralisée des employés, des
bailleurs et partenaires étrangers), de notable, de politicien(comme
tout citoyen à part entière , jouissant de tous les droits de
citoyenneté) et de personne bien éduquée comme tout enfant de grande
famille où la modestie et l’ouverture contrastent avec son rang et sa
haute responsabilité qui lui imposent la retenue dont vous voulez bien
en abuser avec acharnement.
Allégations mensongères à commencer par votre faux statut d’ancien Cadre à la
Snim. En effet, pourriez –vous rappeler aux lecteurs du
Cridem -
s’ils arriveraient à vous identifier ou s’ils se rappellent toujours
des délires de votre belle plume-, votre matricule et quelles ont été
votre structure et votre spécialité à la
Snim ??
Allégations mensongères par ce que vous êtes identifié et vous habitez à
Nouadhibou et non
Zouerate
! D’ailleurs je vous croise assez souvent dans les couloirs …
Allégations mensongères à propos de la gestion et de la santé financière
de la
Snim qui a vu ses fonds propres triplés en 3
ans, son capital passé de 12 à 187 milliards et sa contribution au
budget de l’Etat passer de 35 à 110 milliards UM ! Encore mieux !
Vous avez dû oublier que la
Snim dispose
actuellement d’ une vision, certes ambitieuse mais réaliste et
justifiée, déclinée par le Projet de développement Stratégique
Nouhoudh justement initié et piloté par
Oudaâ,
dont l’objectif est de permettre à l’Entreprise de passer de 12
millions de tonnes de fer produites en 2012 à 40 millions de tonnes en
2025.Déjà les prémisses d’un tel take-off se sont bien dessinées avec le
record absolu de ventes annuelles réalisé en 11 mois, niveau jamais
atteint sur les 50 ans de vie de cette activité.
Croyez-vous, Monsieur
Ould Salek, que l’homme sur
lequel vous vous acharnez était absent lors de la conception et de mise
application des stratégies et mesures d’accompagnement ayant conduit aux
exploits et aux performances réalisés par l’entreprise ? Si oui, qu’est
ce qui empêchait de réaliser de tels exploits par le passé !?
Ould Salek,
vous êtes peut-être parmi ceux qui ont fait bouger la terre et le ciel
après la réorganisation de novembre 2011 et qui avaient juré sur le
déclin de la
Snim ! Les chiffres sont là mais sont têtus ! On doit donc arrêter de mentir aux lecteurs !!
Allégations mensongères au sujet de l’absentéisme de l’ADG de la
Snim. Vous avez l’air d’avoir déjà oublié que la fierté de la
Snim,
est constituée par la rigueur et la clarté de ses différentes
procédures de fonctionnement. Au rappel, l’ADG peut s’absenter pour un
motif personnel ou professionnel ou les deux à la fois mais seulement en
respect des procédures instituées à cet effet : établir son propre
intérim (dans tous les cas), ne pas bénéficier de ses avantages de
salarié et autres traitements associés en cas de prise de congé non
rémunéré.
Oudaâ, n’a strictement enfreint en rien à ces procédures qui
s’appliquent indifféremment à tous les salariés de l’entreprise,
abstraction faite de leurs catégories et de leurs fonctions. S’absenter
pour quoi faire ? Pour exercer la politique ou pour jouer au Tennis,
ceci n’est, a priori, l’affaire de personne ! Toutefois s’il se trouve
que vous en êtes, vous-même personnellement lésé, les voies de recours
sont ouvertes devant vous, Monsieur
Salek !
Allégations mensongères à propos d’un vol dont
Oudaâ serait la victime. Là aussi la réalité comme vous le reconnaissez est une
« réalité empirique »
Je vous rappelle à cet égard, qu’en empirisme, les étoiles apparaissent
plus petites que la lune alors que le diamètre de l’une d’elle est plus
important que celui de la terre !! Autrement dit, Monsieur
Salek,
pas tout ce qu’on voit (moins encore ce qu’on entend), ne constitue
absolument une réalité incontestable ! Encore qu’il faille le prouver
mais je ne vous infligerais pas cette peine car vous ne pouvez pas
justifier ce qui, à la source, n’a même pas existé !
Allégations mensongères lorsque, sans vergogne ni retenue, vous soutenez, Monsieur
Salek que vous aurez vu
« l’ADG de la SNIM, Ould Loudaa, transporter avec lui ses mallettes bourrées d’argents, comme un Teivaye, et traînant les dossiers confidentiels de la SNIM, comme un Samsare, » !! Encore une fois, votre empirisme vous fait des tours d’optique !!
Voir
Oudaâ traîner sa bosse dans les grands milieux industriels, est une chose raisonnable car grâce à ses propres stratégies, la
Snim intégrera bientôt le Top des cinq premiers producteurs mondiaux de production de fer
Seaborne.
Voir l’action socio économique de
Oudaâ pour le Couloir du Nord, ne demande également pas un grand effort à preuve la contribution directe de l’entreprise
Zouerate
où elle a construit un aéroport international, fournit de l’eau potable
et de l’électricité à la ville sans occulter les services rendus par la
Fondation
SNIM qui a investi environ 40 millions de
dollars entre 2012 et 2013 dans le développement communautaire et la
lutte contre la pauvreté !! Mais voir
Oudaa dans le rang des Teyveya ou Samsara, ceci relève tout simplement de l’utopique et de l’illusion !!
Je suis cependant d’accord avec vous que, à la
Snim comme
partout ailleurs, il y’a parfois des dysfonctionnements que nous tous ,
récusons et nous nous attelons à combattre et à éradiquer mais
seulement selon les règles d’art qui conditionnent toute attitude ou
tout comportement envers telle ou telle situation.
En revanche,
il reste inadmissible de s’attaquer impudemment à une personne, rien que
pour assouvir la soif de certains prédicateurs doués en technique
d’intoxication et ne respectant, pour ce faire, ni repère, ni morale !!
D’autant plus quand il s’agit d’un cadre dont les résultats de son
dévouement et son professionnalisme se font déjà sentir au niveau de
toutes les échelles de l’entreprise et partagés par tous les
observateurs et partenaires qui se respectent !!
Sidi Ould Saada
Tel : 22 93 94 02