samedi 19 mai 2012

Rosso, la jeunesse attend toujours des Réponses.

Nos leaders politiques doivent être sommés à l’ordre, car ils n’ont jamais rien fait de concret pour la jeunesse de cette commune. Si l’on discerne la situation dans la quelle baigne la commune de Rosso depuis des années, nous jeunes Rossossois, nous devons nous brandir pour statuer sur la situation actuelle à Rosso. Nous devons nous prononcer entre autres sujets sur les candidats à investir pour conduire les destinés de notre commune, même s’il ya lieu de dégager l’aspect d’appartenance aux partis politiques pour défendre nos intérêts communs. Les populations de Rosso, pères, mères, frères et sœurs vivent depuis des années plus de politique politicienne que d’actions concrètes, il est temps que nous jeunes, nous prenons nos propres destinés en main, par un mouvement unique de sens à proscrire les intérêts communs de cette commune. Les populations doivent avoir cette marque à nous soutenir, pour une question d’appartenance, Rosso appartient aux Rossossois, comme d’autres villes se sont mobilisées pour le sauvegarde de leurs patrimoines traditionnels, mais jamais à Rosso, car se sont nos leaders politiques qui nous ont divisés pour mieux régner. C’est pour mettre ainsi un terme, à la mauvaise gestion des affaires communales. Car, on déplore toujours ne pas comprendre pourquoi nos populations vivent-elles dans des difficultés pendant que nos localités regorgent de potentialités. Nous devons être éveillés pour comprendre que par rapport aux réalités fortuites de ce monde, aucun jeune ne doit rester apolitique à l’instant où se sont les politiciens qui nous bloquent et nous dissocient de nos valeurs. Aller voir la situation du grand stade Ramdan qui nous rappel les grands ténors du foot Mauritaniens : Tahara, Ndiobo, Adellahi Hamza, Moussa wade, feu Mamadou Ndao dit Eleve et d’autres encore que le nom actuel que porte ce stade fut Ramdan le grand athlète Mauritanien tombé aux pas de course, le terrain basket et maison des jeunes complètement livrée aux animaux, le chaumage des jeunes en est une autre cause qui incite beaucoup de jeunes à l’exil vers la ville Nouakchott devenu trop serrée, où même les Ressortissants Rossossois ne se reconnaissent plus à ne jamais réussir des programmes d’unité pour s’intéresser au développement de Rosso. C’est la faute de nos leaders qui certes n’ont jamais pu définir la couleur du tissu que cette mère (Rosso) a revêtit pour servir notre pays dans tous les domaines. Nous jeunes Rossossois, nous devons battre le rappel pour statuer sur la situation politique locale marquée par le choix et la défense de nos intérêts communs face à nos leaders qui nous prennent toujours pour des moutons. Un appel est convainquant pour tout bon Rossossois, Ressortissants ou Résidents, pour que l’on ne soit plus tendres envers des leaders hors de chez nous qui nous reviennent que pour des voies payantes cash au détriment de nos valeurs, nous devons ensemble dénoncer et sauvé la gestion du développement de notre commune, car elle nous appartient et celui qui ne reconnais plus sa valeur est une feuille volante, nous devons tous agir, dans l’intérêt des populations et durablement. Le retour et l’intéressement de nos cadres ressortissants doit aussi être remise en cause, car ils sont restés depuis quelques années hors des questions de développement qui intéressent nos localités (surtout pour la génération 50). Dans presque tous les domaines (environnement, santé, culture, éducation, sport), notre commune répond aux abonnés absents. Selon les jeunes, c’est une ambiance de déception et de regret qui anime les populations en ce moment à Rosso, aller voir vous-même qui connaissez Rosso avant, il n’ya rien de tel, ces leaders nous ont détruits à tel point qu’on ne se reconnaît même plus entre nous. Ceux-ci pensent qu’on peut rester toute sa vie à compter sur les leaders politiques ? non à notre avis, nous pensons que cette question de leaders politique à un terme qui s’arrête justement aux élections , mais une fois élus avec la confiance des populations, la reconnaissance et le respect seraient de s’investir en leaders et acteurs de développement pour défendre des intérêt communs de développement. Dommage, c’est cela que nos leaders n’ont jamais compris en échange de l’intérêt personnel. Pour avoir connu notre ville d’auparavant, nous devons ensemble être convaincus qu’il ne suscite plus comme par le passé, l’espoir que munissaient les populations de cette commune doit être aujourd’hui une réalité. Une situation qui doit nous faire dire « de mémoire de Rosso, jamais notre commune n’a été aussi en veilleuse que celle-ci depuis avant les années 1989. Plus de 23 années durant que nos leaders trahissent le contrat de confiance qui les liait aux populations en ne se mettant jamais à leurs services, pour dire que nos élus ne sont motivés que par leurs intérêts. On l'a constaté depuis longtemps, chacun essaie de sauver sa peau et celle de son entourage immédiat», la majorité d’entre eux brillent par leur absence, particulièrement dans les périodes critiques et n'interviennent qu'après coup. A bon entendeurs salut. Ibrahim Idriss Cridem

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