mardi 10 avril 2012

Aoujeft : Pour qui roule le maire Ould Hmeyn Amar ?




Le maire d’Aoujeft, Mohamed Elmoctar O/ Hmeîn Amar, a lancé un cri de guerre contre les institutions démocratiques et appelle au renversement du président de la République, M. Mohamed Ould Abdel Aziz avec un assaut en règle du palais présidentiel.

Cet élu atypique et déjanté, qui s’est affilié récemment à l’UFP après deux décennies du PRDS , prône également la sécession de la wilaya du reste du pays en déclarant ‘’face à tant d'injustices, je le dis haut et fort, que le nord du pays peut se déclarer comme une république indépendante ; la wilaya de l’Adrar est soumise par le président Aziz à une punition collective.

Il n'y a pas d'autres mots. Il a sciemment éloigné tous les officiers et sous-officiers issus de la région, ainsi que tous les hauts cadres de l'administration''. Ensuite dans sa croisade contre la gabegie, il a trouvé là l'occasion de s'en prendre à nos hommes d'affaires, qui n'avaient certes pas les mains propres’’.

Et le maire d’ajouter ‘’ enfin, je trouve scandaleux que le ministère de l’équipement interdit de prendre des passagers à l’arrière des voitures personnelles ou de transport, car cette instruction n’est appliquée que dans ma commune’’. Devant cet élu du peuple dont les propos frisent l’incohérence, on est en droit de se demander qui est le manipulateur qui tire les ficelles de ce combat antidémocratique et burlesque ?

En analysant les nombreuses déclarations à géométrie variable de Ould Hmeyn Amar et son comportement qui bafoue les lois de la logique, on se rend compte qu’il perpétue les actes d’un manipulé psychotique, agissant sous la coupole d’un manipulateur machiavélique, qui est dans l’ombre de son poste d’observation.

Tantôt fervent militant de la cause du changement et louant les nombreuses réalisations du président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, tantôt se rêvant en adversaire dont les délires l’amènent à la sécession dans sa république imaginaire de l’Adrar libre, Ould Hmeyn Amar apparaît comme un complice qui agit sous la dépendance d’un être machiavélique. Le maire de la paisible commune d’Aoujeft, qui se prend pour un corsaire des temps modernes ou de Tintin dans ses aventures, est en réalité un pion dépendant d'un personnage machiavélique qui, grâce à ses dons d’illuminé, voire de faux sorcier qui lui dicte ses actions incohérentes et antidémocratiques, voudrait prendre le pouvoir.

Ce maitre chanteur dans l’ombre de son perchoir, ce richissime personnage relique de la dictature de Ould Taya, rempli de haine, et qui a des visions connues de faux sorcier, qui a opéré la mue de ce maire fragile et influençable, serait un haut gradé originaire de la commune d'Aoujeft et on ne pourrait rester impassible devant ce comportement indigne d’un officier supérieur qui s’adonne à la manipulation pour assouvir sa soif du pouvoir.


www.cridem.org


Source :
uninternaute

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