vendredi 17 septembre 2010

Vie – Vêtir, Instruire un Enfant : Quant les jeunes s'engagent sur le terrain, à Kaédi [Rep. Photos]


Nous avons reçu chez Cridem les parrains de l’initiative VIE – Vêtir, Instruire un Enfant, un beau titre pour un programme d’une générosité qui n’a d'égal que l’urgence qui sous-tend le projet : Khaly Diallo, qui termine ses études à Dakar, Boubou Lô, doctorant à Sciences criminelles à Perpignan (France), Djibril Diop et Marietou Fall, de Nouakchott.
L’équipe, sous la houlette de Khaly, porte-parole inspiré et habité par sa mission, entend faire bouger les choses afin qu’une solidarité agissante se mette en place pour ''secouer les inerties'' dans notre pays : les quatre jeunes viennent de terminer une mission de distribution de vêtements dans la ville de Kaédi, sinistrée à deux reprises, les 11 et 25 août 2010.

Les jeunes humanitaires reviennent bouleversés du spectacle de désolation qu’ils ont vu sur place, et de l’ampleur des dégâts, et donc de l’ampleur de la tâche à accomplir pour que la population soit remise sur pied, cette population dont une bonne partie est dans un dénuement quasi-total, après avoir pratiquement tout perdu.

Nous avons reçu chez Cridem les parrains de l’initiative VIE – Vêtir, Instruire un Enfant, un beau titre pour un programme d’une générosité qui n’a d'égal que l’urgence qui sous-tend le projet : Khaly Diallo, qui termine ses études à Dakar, Boubou Lô, doctorant à Sciences criminelles à Perpignan (France), Djibril Diop et Marietou Fall, de Nouakchott.

L’équipe, sous la houlette de Khaly, porte-parole inspiré et habité par sa mission, entend faire bouger les choses afin qu’une solidarité agissante se mette en place pour ''secouer les inerties'' dans notre pays : les quatre jeunes viennent de terminer une mission de distribution de vêtements dans la ville de Kaédi, sinistrée à deux reprises, les 11 et 25 août 2010.

Les jeunes humanitaires reviennent bouleversés du spectacle de désolation qu’ils ont vu sur place, et de l’ampleur des dégâts, et donc de l’ampleur de la tâche à accomplir pour que la population soit remise sur pied, cette population dont une bonne partie est dans un dénuement quasi-total, après avoir pratiquement tout perdu.

C’est pourquoi les initiateurs de VIE lancent un appel à tous, autorités, patronat, bonnes volontés afin que tous aident ce mouvement de notre jeunesse qui, ayant un but humanitaire veulent d’une solidarité vert et or, à la mauritanienne, pour dire, au moins une fois : c’est possible, nous pouvons le faire, il suffit de le vouloir…

Les quatre coordonnateurs de Nouakchott sont aidés dans leur tâche par des correspondants dans divers pays, (Marietta Sylla, USA ; Cheikh Oumar Dia, Belgique ; Alassane Laam, Espagne ; Samba Diallo, Danemark ; Papa, Papis Diakhité et Boubo Lô, France), leur initiative n’est pas établie pour le moment en association, mais elle fait appel à leurs amis de l’association secoursnet pour loger les dons éventuels qu’elle pourrait recueillir.

Aider ces jeunes à réaliser leurs projets est donc un devoir pour chacun, autorités établies, entreprises nationales ou simple particulier : la jeunesse engagée et solidaire est le sel de la terre.































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