vendredi 22 août 2014

ALERTE INFO : Formation d'un nouveau Gouvernement

ALERTE INFO : Formation d'un nouveau Gouvernement La Présidence de la République a rendu public jeudi soir un décret nommant le Gouvernement dont voici le texte intégral:

Par décret en date de ce jour et sur proposition du Premier Ministre sont nommés :

-Ministre de la Justice : Sidi Ould Zein

Ministre des Affaires Etrangères et de la coopération, M. Ahmed Ould Teguedi

Ministre de la Défense Nationale : Ba Amadou Bathia

Ministre de l'intérieur et de la Décentralisation : Mohamed Ould Ahmed Salem Ould Mohamed Raré

Ministre des Affaires Economiques et du Développement, M. Sidi Ould Tah

Ministres des Finances : Thiam Djombar

Ministre des Affaires Islamiques et de l'Enseignement Originel: Ahmed Ould Ahil Daoud

Ministre du Pétrole, de l'Energie et des Mines : Mohamed Ould Khouna

Ministre de la fonction, du Travail et de la Modernisation de l'Administration : Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna

Ministre de la Santé : Ahmedou Ould Hademine Ould Jelvoune

Ministre des Pêches et de l'Economie Maritime : Nani Ould Chroukha

Ministre du Commerce, de l'Industrie, et du Tourisme : Naha Mint Hamdy Ould Mouknass

Ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l'Aménagement du Territoire : Ismaïl Ould Sadegh

Ministre de l'Agriculture : Brahim Ould M'Bareck Ould Mohamed El Moktar

Ministre de l'Elevage: Dr. Fatma Habib

Ministre de l'Equipement et des Transports : Isselkou Ould Ahmed Izidbih

Ministre de l'Hydraulique et de l'Assainissement : Ahmed Salem Ould Bechir

Ministre de l'Education Nationale : Ba Ousmane

Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique : Sidi Ould Salem

Ministre de l'Emploi, de la Formation Professionnelle et des Technologies de l'Information : Mohamed Lemine Ould Mamay

Ministre de la Culture et de l'Artisanat : Vatma Vall Mint Soueinae

Ministre de la Jeunesse et des Sports : Sao Houleimeta

Ministre des Relations avec le Parlement et de la Société et Porte Parole du Gouvernement : Izidbih Ould Mohamed Mahmoud

Ministre des Affaires Sociales, de l'Enfance et de la Famille : Lemina Mint El Kotob Ould Moma

Ministre de l'Environnement et du Développement Durable : Amédi Camara

Ministre Secrétaire Général du Gouvernement : Hawa Tandia

Ministre délégué auprès du Ministre des Affaires Etrangères Chargée déléguée Chargée des Affaires Maghrébines, Africaines et des Mauritaniens à l'Etranger : Hindou Min Haînina



jeudi 21 août 2014

Boghé : Démarrage des cours de vacances organisés par l’Amical des Enseignants de Boghé

Boghé : Démarrage des cours de vacances organisés par l’Amical des Enseignants de Boghé [PhotoReportage]   Comme ils le font chaque année depuis la création de cette organisation en 2012, l’Amical des Enseignants de Boghé (AEB) en partenariat cette fois-ci avec le Réseau des ASC de Boghé et l’Association pour la Solidarité et le Développement de Boghé (ASDB) ont décidé d’organiser de cours gratuits de vacances au profit des élèves du primaire et du secondaire pour une durée de 30 jours.

Ces activités scolaires et pédagogiques ont démarré officiellement le 18 août 2014 dans trois sites différents. A l’école de Wélingara située dans le quartier Est de Boghé Dow, à l’école 3 situé dans le quartier Ouest de Boghé Dow et à l’école de Niloy.

Les bénéficiaires ont subi un test d’évaluation avant de débuter les cours afin d’identifier le niveau réel de chacun d’entre eux et savoir avec précision les compétences nécessitant d’être mobilisées pour ces apprenants renseigne Oughbata Boun Ibra Hamath Sarr, le coordinateur des cours de vacances à l’école Wélingara assisté de Oumar M’Bow pour le second cycle.

Toujours selon Oughbata Boun Ibra hamath dit Mama Sarr, l’Amical et ses différent partenaires se sont fixés des objectifs précis pour ces cours de vacances. Les apprenants dit-il ont été classés en trois groupes avec chacun un objectif bien défini.

Pour le groupe A1, les cours dispensés visent à initier les bénéficiaires à l’écriture, la lecture et le calcul. Le groupe A2 a pour objectif d’amener l’élève à maîtriser les techniques et reconnaitre les formes des figures géométriques et pouvoir entrer en communication avec d’autres personnes. Et enfin, pour le groupe A3, l’objectif à atteindre est d’amener les apprenants à comprendre des textes simples et résoudre des problèmes.

Mais après le test de niveau poursuit Mama Sarr, aucun élève sur les 200 inscrits volontairement pour les cours du primaire n’a été admis dans le groupe A3 qui a été finalement annulé. Suffisant pour juger de la déconfiture actuel de notre système éducatif marqué par une chute drastique des niveaux d’enseignement.

S’agissant du secondaire, les cours seront seulement dispensés au profit des collégiens a affirmé M. Sarr en mettant l’accent sur les cours de français, de Mathématiques, de sciences, d’anglais et d’arabe.

Oumar est un élève qui devra aller en classe de 5ème année du fondamental pour le courant de l’année scolaire 2014-2015. Interrogé sur le sentiment qui l’anime dans la classe A1, il répond avoir éprouvé un sentiment de honte lorsque le maître les a demandé de répéter ensemble les 25 lettres alphabétiques (a,b,c,d,e…).

Le jeune Oumar comme une écrasante majorité d’autres comme lui ne réalisent toujours pas encore que leurs niveaux d’étude les cantonnent à l’état d’initiation de la lecture, d’écriture et de calcul malgré 4 années passées sur les bancs de l’école fondamentale avec à la fin de chaque année scolaire, un bulletin de passage rempli de bonnes notes.

Nous avons fait un tour des salles de classes avec le coordinateur de Wélingara où nous avons pu constater un engouement des apprenants. Le Réseau des ASC de Boghé est représenté par M. Thièrno Mountagha Wagne, professeur d’Anglais au lycée de Bagodine. Pour les deux cycles qui comptent déjà plus de 300 candidats, les organisateurs ont réussi à mobiliser suffisamment d’enseignants, soit 31 enseignants repartis entre 15 instituteurs et 16 professeurs.

L’école 3 va finalement abriter les cours pour le second cycle. La population de Boghé par ma voix dit un grand merci à l’Amical des Enseignants de Boghé (AEB), au Réseau des ASC de Boghé et l’Association pour la Solidarité et le Développement de Boghé (ASDB) qui ont conjugué bénévolement leurs efforts dans le but de corriger la situation éducative de nos enfants après avoir pris conscience de la gravité dans laquelle se débat notre système éducatif et l’avenir déjà compromis de plusieurs générations.

Rappelons que l’Amical des Enseignants de Boghé, fer de lance de cette initiative salutaire s’est réunie en assemblée générale le 17 août 2014 à l’école 3 en présence de plusieurs jeunes enseignants. Et l’actuel président Dieng Abdarrahmane, professeur de sciences naturelles au lycée de Boghé a été reconduit à l’unanimité par ses collègues à la tête de l’organisation.






Avec Cridem, comme si vous y étiez...








Elfoutiyou


Tourisme : La Guetna, une espèce de bonheur

Dressé jusqu'au ciel


C’est la Guetna en Adrar. Des milliers de mauritaniens affluent vers les oasis. Une société bien « Guetna » se forme sous les palmiers. C’est un rite annuel qui se renouvelle, c’est aussi un hymne à la datte, et aux belles traditions, c’est un rendez-vous aussi de solidarité. Cette année la Guetna a été fructueuse, bien du point de vue récoltes que du point de vue atmosphère.
La Guetna n’est pas une saison, la Guetna est une fête qui accueille, à bras ouverts, tous les arrivants. L’Adrar est une des régions privilégiées pour les amoureux de cette fête unique.
L’Adrar, cette année grouille d’estivants. Ils sont venus de partout, de Nouakchott, de Nouadhibou, du Trarza, des Hodh, de partout. Ils viennent goûter à la dolce vita adraroise, aux offrandes de la Guetna : l’eau pure, les dattes fraîches, l’ombre des palmiers, la chaleur bien sûr, dans tous les sens , et surtout la commission des cœurs et le repos des esprits.
Entretien du palmier
La Guetna est dit-on d’abord un rendez-vous. Chaque année, venant de tout le pays, des milliers de personnes affluent vers l’Adrar, se croisent, se rencontrent, se connaissent, se tendent les mains. La Guetna est une occasion rêvée de retrouver des proches, des amis, de vieilles connaissances perdues. C’est aussi une saison où on enlève les vilains oripeaux de la fausse modernité, où on s’habille de naturel, ou l’on rit, sans gêne, avec des inconnus, et où l’on aide, sans préjugé, le voisin à tirer de l’eau, à cueillir des dattes ou à traire ses chèvres.
Du sable et de l'eau
La Guetna tue les préjugés de classe. Si une très rare minorité de nantis, s’enferme dans des maisons climatisées (quelle absurdité en Guetna !) la très grande majorité des personnes riches oublient pour un temps leurs privilèges. Car en Guetna, il n’y a qu’un habit, le modeste boubou de Chega pour les hommes, ou le voile noir légèrement teint de  » Nila  » pour les femmes, il n’y a qu’un repas, le bon riz à la viande, sans aucune sorte d’assaisonnement, précédé de dattes franches, il n’y a qu’un seul luxe jouir de l’ombre voluptueuse des palmiers et de la doucereuse musique de l’eau qui passe. La Guetna s’offre à tout le monde et elle méprise superbement toutes les différences factices d’aujourd’hui.
Surveillance des jeunes dattes
La Guetna est aussi une cure. Tous les adrarois (et les autres) vous le diront : rien de mieux pour se refaire une bonne santé que la Guetna, c’est qu’en cette période, on oublie les aliments trop condimentés, trop gras des citadins, on élimine le superflu, on’ revient au naturel, on ne mange que ce qui adoucit l’estomac et les membres (dattes, repas chauds avec viande légèrement faisandée), et puis, et ça les adrarois y insistent, la forte chaleur, la vraie, sans humidité fortifie l’organisme, assèche les kilos superflu, redonne à l’organisme la légèreté nécessaire.
La Guetna est aussi une saison des joies et des plaisirs. Il n’y a pas de moussems organisés dans l’Adrar, mais les adrarois attendent souvent la Guetna pour organiser les grands mariages, pour tenir les grandes réunions tribales, pour rencontrer et discuter des grandes questions, et aussi pour des mémorables championnats de tir. Tout ce qui est grand se fait en Guetna. C’est pourquoi la Guetna est une fête.
M’Barek Beyrouk

Facebook : Le Président M.A.Aziz réagit à une lettre ouverte d’un citoyen

Le Président de la République M Mohamed Ould Abdel Aziz a réagit, via un posting sur facebook, à une lettre ouverte publié par un notable de la ville Zouérate. Le dénommé Ba Djibril Amadou de Zouérate a rendu public, aujourd’hui, une lettre ouverte au Président de la République ou il l’informe d’un incident qui a conduit à l’arrestation de son neveu Mouhamadou Oumar Ngaindé, lors d’un meeting du Président dans la capitale du Tiris Zemour.
Selon Djibril Amadou, son neveu âgé d’environs 20 ans, faible d’esprit, est arrêté par la police pour avoir lancé une pierre sur le cortège du Président.
« Ce jeune n’a pas tout son esprit et n’a pas toutes ses facultés mentales. Nous vous informons que ce jeune est toujours en prison depuis cette époque » poursuit le concerné.
Ba Djibril conclut : « En espérant que cette lettre vous parvienne, nous vous prions, Monsieur le Président, de recevoir nos remerciements les plus sincères et nos sentiments les plus respectueux »
Il n’a failli qu’une heure de temps après la publication de cette lettre, pour que le Président réagisse en affirmant ignorer cet incident et assurant que la place du jeune Ngaïdé « est dans une structure spécialisée plutôt qu’ailleurs ou mérite un suivi thérapeutique ».
Voici l’intégralité de la réponse :
« Je viens de prendre connaissance de votre lettre par le biais de mon fils qui m’a transmis le lien de la lettre parue sur un site d’information.
Je ne pourrais que protester contre l’arrestation abusive d’un citoyen mauritanien pour des voies de fait mineures et encore plus m’élever contre la détention d’une personne présentant des troubles psychiques.
S’agissant de l’événement relaté dans votre lettre, j’avoue n’avoir jamais eu connaissance de cet incident qui en réalité aura du mal à être qualifié pénalement.
D’autant plus qu’au moment des faits, je n’étais pas dans l’exercice de mes fonctions, mais candidat à une élection donc simple citoyen.
Pour ma part, Mouhamadou Oumar N’Gaindé, loin d’être coupable et un jeune homme infirme dont la place est dans une structure spécialisée plutôt qu’ailleurs ou mérite un suivi thérapeutique pour maitriser ses pulsions dont les conséquences peuvent causer préjudices non seulement à autrui, mais aussi à ses proches. J’aviserai en ce sens. »
maurisahel 

mercredi 20 août 2014

Tagant : Partenariat PNUD-ALCDAE pour la régénérescence du couvert végétal de la zone d’El Eghde

 
L’Association pour la Lutte Contre la Désertification et l'Avenir Environnemental présidée par Mr Yahyana Ould Ahmed est actuellement en phase très avancée dans l’exécution du projet  de l’Assainissement et la Sauvegarde de la zone D’El Eghde.

Financé par le PNUD par le biais la Coordination du Programme de Micro financement du Fond Mondial de l’Environnement FEM/SGP, ce projet vise la restauration des terres dégradées, la régénération du couvert ligneux, herbacé et la réhabilitation de son biotope et de sa faune d'El Egde.

En effet, les travaux, de ce projet qui dure six (06) mois, sont actuellement très avancés. Une digue en sable couverte en pierres d’une longueur linéaire de plus de 500m et d’une hauteur d’environ 1m au dessus du sol, en plus d’une clôture en grillage et barbelé d’environ 2 200m soutenue par plus de 75 poteaux et environ 300 cornières de 2m chacune, sont déjà réalisées.
Des travaux de renforcement de la clôture grillagée, endommagée par endroit, ont été entrepris avec succès et des recommandations ont été faites aux populations locales bénéficiaires afin de mettre  fin systématiquement à la divagation animale aux alentours de l’ouvrage et de veiller à sa préservation en sévissant contre toute action humaine sensée lui portait préjudice.
Aussi les activités du dépôt du gaz butane dont la gestion est confiée à un comité villageois se poursuivent avec succès pour le grand bien des populations locales qui se sont habituées finalement à cette source d’énergie qu’ils ont heureusement substitué à l’utilisation du bois de chauffe aux effets lourdement négatifs sur l’Environnement.
En plus de la baisse de la pression sur les ressources naturelles locales, l’introduction du gaz butane a permis selon le président de l’Association pour la Lutte Contre la Désertification et l'Avenir Environnemental, d’alléger les charges pour les femmes (le ramassage du bois de chauffe est assuré essentiellement par ces dernières) et leur permettre de s’adonner à d’autres activités plus valorisantes.
 Aussi, la vente du gaz butane au niveau de la zone d’El Egdhe permet des entrées financières non négligeables des bénéfices desquelles seront financées des activités parallèles de renforcement et de préservation de l’Environnement.
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Khalil Sow-Tagant



 

mardi 19 août 2014

La SOMELEC responsable de la mort d’une dame à Sélibaby ?

La SOMELEC responsable de la mort d’une dame à Sélibaby ? [PhotoReportage]	  La SOMELEC serait-elle responsable de la mort d’une dame à Sélibaby ? Quoiqu’il en soit Toutou Mint Maloum, car c’est de bien de cette femme âgée d’une cinquantaine d’année qu’il s’agit, serait décédée, ce lundi 18 août, électrocutée dans un quartier de Selibaby où des fils électriques sont posés à même le sol.

L’information serait passée inaperçue si un internaute en l’occurrence Ibrahim Dioum n’avait pas pris la peine de diffuser la triste nouvelle sur Facebook.

Toutou se serait levée à l’aube pour accompagner une voisine enceinte à la maternité, sur le chemin du retour elle se serait pris les pieds dans un amas de fils électriques qui ne lui laisseront aucune chance.

Son décès rappelle celui de Mody Boural Bâ un adolescent électrocuté le 20 août 2012 à Selibaby, écrit Ibrahim Dioum.

lundi 4 août 2014

Suicide à Sylla (Kaédi)

Suicide à Sylla (Kaédi)

  Le corps sans vie d’Abou Amadou, un jeune étudiant âgé d’environ 23 ans, inscrit à l’université de Nouakchott, a été retrouvé dimanche prés de Sylla, son village (situé à une dizaine de kilomètres à l’Ouest de Kaédi).

Alertées, les autorités de la capitale régionale du Gorgol, notamment le procureur de la République, accompagné d’un médecin légiste, se sont transportées sur les lieux du drame pour procéder au constat d’usage conformément à la loi.

Le jeune homme, calme et sans histoire, selon plusieurs témoignages concordants, qui souffrait de troubles mentaux cycliques depuis quelques mois, était pendu à une corde accrochée à un arbre.Le certificat du genre établi par le médecin a confirmé la thèse du suicide. 


Avis de recherche : il s’appelle Oumar Séga Touré et a disparu depuis trois jours

Avis de recherche : il s’appelle Oumar Séga Touré et a disparu depuis trois jours Nous portons à la connaissance du public de la disparition du sieur Oumar Séga Touré, âgé de 49 ans, depuis trois jours.

Souffrant d’un défaut mental fragile, Oumar Séga Touré est père de 6 enfants. Il domicilie à Dar el Béwa, à Nouakchott. Sa famille ne l’a plus revu depuis le 1 août. Manœuvrier en maçonnerie, Oumar Séga Touré ne travaillait plus depuis 4 mois en raison de son état de santé très fragile.

Pour tout contact, veuillez-vous adresser à Abou Sall à ces deux numéros : 41 10 13 63 OU 36 42 13 63





Démantèlement d'une cellule accusée de prostitution et trafic de drogue à Kaédi

Démantèlement d'une cellule accusée de prostitution et trafic de drogue à Kaédi

Les services de la police à Kaédi dans le sud du pays, ont arrêté, un groupe de personnes composé de femmes et d'hommes accusés d'être inculpés dans la prostitution et le trafic de drogue, a-t-on appris de diverses sources concordantes.

Et les mêmes sources de préciser que la police a trouvé dans la maison,où, se trouvaient les membres de la cellule une importante de drogue.

Avons-nous appris que les éléments du groupe ont été entendus pour plus d'informations avant d'être traduit en justice pour répondre aux faits portés eux.




dimanche 3 août 2014

Charismatique, visionnaire, grand bâtisseur, un des plus remarquables de sa génération : "Youssouf Koita" ne mérite pas "l’oubli"

Charismatique,  visionnaire, grand bâtisseur,  un des plus remarquables de sa génération : Digne fils de Kaédi, dont il fut le premier maire-député, ancien Président de l’Assemblée nationale de Mauritanie ; il a été un acteur majeur dans la construction politique de la Mauritanie d’avant et d’après Indépendance : dans sa «Construction» tout court.

Il a contribué considérablement dans les négociations pour l’indépendance, en faisant notamment partie de la délégation officielle de la Mauritanie à l’Hôtel Matignon en France le 18 Octobre 1960, délégation qui comprenait entre autres : Mokhtar ould Daddah ; Sidi El Moctar Ndiaye ; Cheikhna Ould Mohamed Laghdaf et Yahya Kane, qui formaient à l’époque avec « Youssouf », l’équipe politique de choc qui incarnait la « Mauritanie de Demain ».

Youssouf Koita « en son temps », a fait de Kaédi  « ville, dans laquelle furent formés les premiers lettrés et cadres du pays, première à être dotée d’un aéroport et d’un hôpital pour toute la vallée du fleuve Sénégal, parmi les premières à avoir un collège, et aussi la première ville équipée d’une centrale électrique et d’un réseau d’eau potable, muni d’un réseau d’évacuation des eaux pluviales » (Article : Sauver Kaédi ! de Boubacar Diagana et Ciré Ba sur Infos Avomm, Vendredi 23 Août 2013) ; Une ville lumière de la Mauritanie sur le plan politique, social et économique.

L’homme, était un visionnaire, ambitieux pour « sa ville » ; son pays. Il faisait de Kaédi un passage obligé de toutes les grandes figures politiques de l’époque qui ont eu à foulé le sol Mauritanien (Amadou Ahidjo, Senghor et tant d’autres).

En son temps, Kaédi était une vitrine de la cohésion entre les communautés mauritaniennes, et cette image de sa ville, Il voulait l’impulser sur tout le territoire mauritanien car « lui avait compris tôt, ce que d’autres comprendront tard », très tard; à savoir que l’Unité est la seule issue possible pour la Mauritanie.

Youssouf Koita avait aussi repéré très tôt les potentialités économiques qu’offrait la « vallée » à la Mauritanie, et il en a notamment fait un exposé dans un écrit intitulé « les atouts économiques de la vallée du fleuve Sénégal » ; atouts qui jusqu’à présent restent inexploités ; mal exploités.

En son temps, la ville de Kaédi rayonnait sur tous les plans et se faisait envier dans toute la sous-région ; en son temps, les kaédiens n’avaient ni faims ni soifs ; et en son temps, la ville de Kaédi était propre ; on y respirait de l’air pur. Et avec une telle démarche, il paraît tout à fait clair que le destin de « Youssouf » n’était pas lié à Kaédi seulement.

Et l’on est donc en droit de se poser des questions sur les circonstances, dans les quelles il a disparu ; car « Youssouf Koita » est décédé dans sa chambre d’hôtel, le 22 Septembre 1971 lors d’un séjour d’agrément à Las Palmas en Espagne ; quelques minutes après un « repas », selon des témoignages concordants.

Et il paraît aussi tout à fait surprenant que ce personnage phare du pays, reste inconnu de la majorité des mauritaniens et que l’on ne le retrouve pas sur les annales d’histoire de ce pays.

Alors aujourd’hui, à quelques mois du « 28 Novembre », et à l’heure de cet embargo camouflé sur Kaédi, ville dont la dignité n’a pas de prix, ville qui se meurt doucement mais sûrement, parce par non-assistance de la part de l’Administration centrale ; mais surtout parce que les successeurs de « Youssouf » n’ont pas été à la Hauteur : ne serait-il pas « Juste » que la Mémoire Collective le réhabilite afin que la jeune génération s’en inspire?

Cheikhna Mbouh Tandia
Étudiant en Droit

Boghé : Arbeca organise une cérémonie de remise des prix d’excellence 2014 à l’école de Thialgou

Boghé : Arbeca organise une cérémonie de remise des prix d’excellence 2014 à l’école de Thialgou [PhotoReportage]

  L’Association des Ressortissants de Boghé et Environs au Canada (ARBECA) en partenariat avec l’Inspection Départementale de l’Education Nationale (IDEN) de Boghé a organisé ce samedi 02 juillet 2014 dans les locaux de l’école de Thialgou, village situé à 7 kilomètres de Boghé une cérémonie de remise des prix d’excellence au profit des meilleurs élèves et des maîtres qui se sont illustrés par leurs performances au cours de l’année académique 2014.

Cette cérémonie s’est déroulée sous le haut patronage de Mohamed Lemine O Sellahi, Hakem Mouçaîd assurant l’intérim du titulaire absent et en présence du maire de Boghé, Dia Hamady Hachimiyou, de l’IDEN du département Mohamedou O Mohameda, de l’adjudant garde Lemrabott O Lekoueîry, chef de la subdivision départementale de la garde nationale, de l’adjudant-chef de police chef du Corps urbain, de Hassan Dialadé Sy, responsable du bureau des parents d’élèves de Thialgou, de Alhousseynou Sy, directeur du lycée de Djéwol, de plusieurs directeurs d’établissements et de notabilités de la localité.

La cérémonie a été marquée par deux temps forts qui ont retenu l’attention du public à savoir le discours du représentant de l’ARBECA et la remise officielle des prix.

Dans une allocution prononcée en arabe et en français à cette occasion, M. Dia Abdoulaye Alassane a d’abord souhaité la bienvenue à l’assistance qu’il a remerciée de sa présence également avant de faire un bref survol historique de la création de l’Association des Ressortissants de Boghé et Environ au Canada (ARBECA) dont les membres l’ont choisi pour les représenter à Boghé.

« Votre présence effective traduit, mesdames et messieurs, l’intérêt particulier que vous accordez à l’école qui un des piliers du développement ainsi que votre engagement à œuvrer à nos côtés pour l’épanouissement de notre système éducatif» a affirmé M. Dia dans son allocution avant d’ajouter:

"je saisis cette occasion solennelle pour rappeler que la cérémonie qui nous réunit à l’instant même est une émanation de l’Association des Ressortissants de Boghé et environs au Canada (ARBECA) qui a pour objectifs de mettre à profit sa présence à l’étranger pour appuyer des projets dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’environnement". Il a ensuite égrainé quelques réalisations à l’actif de l’ARBECA. Entre autres, le parrainage d’élèves issus de familles pauvres, les démarches visant à obtenir un jumelage entre les villes de Boghé et de Sherbrooke au Canada, la création d’un portail identifiant les besoins essentiels dans tous les villages de la contrée de Boghé.

Et c’est dans ce cadre que s’inscrit cette cérémonie qui récompense les meilleurs élèves et enseignants sélectionnés sur la base des résultats du concours d’entrée en 1ère AS qui a enregistré cette année un taux de réussite de 67,15% au niveau du département de Boghé. Un examen approfondi des données par ordre et de mérite et par centre a permis à l’administration scolaire de choisir les lauréats (élèves et enseignants) et la meilleure école a indiqué M. Dia.

Les différentes distinctions portent les noms d’illustres fils du terroir qui ont contribué au développement local. Il s’agit de feux Abou Sy pour les prix élèves, Bâ Malik Cheîkh pour le prix de l’école et Kassé Moktar pour les prix enseignants.

Pour sa part, l’IDEN de Boghé, Mohamedou O Mohameda a salué le geste grandiose de l’ARBECA qu’il a remercié au nom du ministre de l’éducation nationale et du DREN de la région du Brakna. Il est revenu sur les critères de sélection des différents récipiendaires en affirmant que leur choix a été fait sur des bases objectives par une commission présidée par le Dren du Brakna, Sidi Mohamed O Hademine et comprenant les Inspecteurs Départementaux des cinq Moughataa.

Le maire Dia Hamady Hachimiyou a quant à lui remercié vivement l’initiative de l’ARBECA qui s’inscrit dit-il dans la droite ligne de la politique de sa commune en matière de développement du secteur éducatif. Il a réitéré l’engagement de la municipalité de Boghé à accompagner toutes les actions qui seront menées par l’ARBECA dans le sens de l’amélioration de l’enseignement des élèves dans les écoles.

Le responsable du bureau local des parents d’élèves de Thialgou, Hassane Dialadé Sy s’est réjouit des efforts déployés par l’Etat, la municipalité et leurs partenaires d’AREMAU pour appuyer l’éducation de base dans le village de Thialgou.

Il a lancé un vibrant appel à l’endroit des enseignants pour redoubler des efforts afin de faire davantage de résultats dans le domaine de l’éducation. Il n’a pas manqué de convoquer des recommandations de Séyidina Ali, un compagnon du prophète Mohamed (PSL) qui exhortent les croyants musulmans à s’instruire pour éloigner le mal et se rapprocher du bien.

Avant le remise des prix, M. Sahib O/ Laghdaf, directeur de l’école de Houdallaye, un village de rapatriés où mademoiselle Aîssé Salif Bâ, lauréate qui réside dans le village de Abbaye a passé le concours d’entrée au collège, a tenu à exprimer sa satisfaction pour la distinction obtenue par la jeune fille dont le mérite selon lui revient au centre d’examen de Houdallaye.

La remise des prix a été la dernière séquence de cette cérémonie. C’est le Hakem Mouçaîd de Boghé qui a remis le 1er prix baptisé prix élève de feu Abou Sy à mademoiselle Aîssé Sakif Bâ qui a obtenu 172 points sur 200 au concours 2014. Le maire Dia Hamady Hachimiyou lui a remis encore le prix fille en sa qualité également de fille. Elle a empoché 60 000 Um d’un seul coup. Le 2ème prix élève Feu Abou Sy a été remis à Mohamed O Mohameden de l’école de M’Balladji par l’IDEN de Boghé. Ce jeune garçon a obtenu 167 point sur 200 au concours 2014 et a empoché 20 000 Um.

Quant aux prix Feu Kassé Moctar pour les enseignants, il a été décerné à M. Said Ould Bleîl et Lam Aboubacry respectivement enseignants d’arabe et de français à l’école de Thialgou qui ont reçu chacun 30 000 UM. Ces deux prix ont été remis aux deux lauréats par Sy Alhousseynou et Kassoum Sy. Le prix Feu Bâ Malik de la meilleure école est revenu à l’école de Thialgou et il a été remis au directeur de l’école de Thialgou Moussa Ibrahima N’Gaîdé par le représentant d’AREMAU M. Lam Ousmane. Rappelons que cette ONG a construit six salles de classes et un bloc de latrines en cours de réalisation dans l’école de Thilagou.

Des actions de ce genre contribueront sans nul doute à créer un climat d’émulation chez les élèves et les enseignants car il est admis que l’application du principe de la sanction et de la récompense est fondamentale dans la gestion des ressources humaines par son effet stimulateur sur un système éducatif qui se caractérise par une baisse sensible des niveaux.

Daouda Diop




Avec Cridem, comme si vous y étiez...












Elfoutiyou

samedi 2 août 2014

Journée mondiale de l’arbre: La DREDD du Tagant célèbre l’événement




La direction régionale de l’Environnement et du Développement durable du Tagant a célébré ce 1er aout  la journée mondiale de l’arbre placée cette année sous le slogan « Reverdir nos villes ».  L’événement a été rehaussé par la présence du Directeur du cabinet et le conseiller du Wali Tagant chargé des affaires administrative et juridique, le Hakem Moucaid de Tidjikja , les responsables de la sécurité régionale,  le représentant de la commune de Tidjikja , le DREDD et l’inspecteur départemental de l’Environnement et du développement durable.
La cérémonie qui s’est déroulée dans l’enceinte des locaux de la Wilaya du Tagant a été marquée par la plantation de plusieurs arbres par les responsables présents sur les lieux de l’événement.
Ainsi donc à travers cette action, le Tagant vient d’apporter sa contribution au défi lancé cette année par le ministère de l’Environnement et le développement durable pour la plantation en milieu urbain d’un million d’arbres d’espèce locale.
Il convient de souligner que selon le délégué régional de l’Environnement Mr Samba Simakha son ministère a mis à sa disposition les moyens nécessaires pour le bon déroulement des activités  marquant la célébration de la journée mondiale de l’arbre au Tagant.
Khalil Sow-Tagant 

 


vendredi 1 août 2014

Les ressortissants de MBout au secours de leur ville

Les ressortissants de MBout au secours de leur ville Le vendredi 25 juillet 2014 s’est tenue au domicile de M. Daffa Bakary à Nouakchott une réunion extraordinaire des ressortissants et ressortissantes de Mbout (Wilaya du Gorgol) suite aux graves inondations qui ont frappé leur ville au début du mois de juillet.

Cette réunion extraordinaire qui était co-présidée par MM. Koné Bakariba ancien député de M’Bout, Sy Adama député Mbout et par Daffa Bakary avait pour objet de faire des propositions concrètes sur les voies et moyens de venir en aide dans le court, moyen et long terme aux populations sinistrées de Mbout.

Au terme des discutions deux importantes commissions ont été mises en place pour la mise en œuvre, le suivi et la coordination des actions en faveur de la ville de Mbout et de ses habitants : Une commission de collecte, chargée dans l’urgence de collecter des fonds auprès de tous les ressortissants de Mbout résidant à Nouakchott en vue de venir en aide aux populations sinistrées. Cette commission est actuellement à pied d’ouvre pour la collecte des fonds d’urgence.

Une Commission de Coordination composée de MM. Daffa Bakari, Koné Abdarrahmane, Diagana Dieydi, Sidi Oul Elhadj, Houssein Oul Saloum, Hachim Ould Touhami et Mme Kadjata Diallo ainsi que des 3 députés et du sénateur de Mbout comme membres de droit.

Le rôle de cette commission est d’assurer la coordination des aides en faveur les sinistrés, de servir d’interface avec l’Etat, les Organisations internationales et toutes les bonnes volontés, de canaliser rationnellement les aides d’urgence en fonction des besoins immédiats des populations sinistrées et de faire des propositions d’actions durables dans le moyen et dans le long terme en faveur de la ville de MBout.

Téléphones utiles pour toutes les bonnes volontés désirant venir en aide aux sinistrés :

- Sy Moussa tel : 22 42 74 12 (Commission de collecte des fonds)

- Mme Kadjata Malick Diallo tel 46 44 97 45 (commission de collecte des fonds)

- Daffa Bakary : tel 46 47 48 93

Un compte bancaire « Aide aux Sinistrés de Mbout » sera prochainement ouvert pour recevoir les aides de toutes les bonnes volontés ainsi que des Mboutois de la diaspora.



Sélibaby, une ville sinistrée !

Sélibaby, une ville sinistrée ! [PhotoReportage] La ville de Sélibaby a enregistré 66 mm de pluie, mercredi dernier. C’est une pluviométrie, certes importante, mais loin d’être extraordinaire dans une ville qui fait partie des régions les plus arrosées du pays.

En revanche, ce qui sort de l’ordinaire, c’est sans doute le caractère inhabituel des dégâts engendrés par les eaux jetant dans la rue plusieurs familles.

On ne déplore aucune victime mais les dégâts matériels sont énormes, eu égard à l’ampleur de la catastrophe et à la boulimie de ces eaux exceptionnelles qui ont fait leur lit dans les habitations et dans des quartiers entiers.

Les familles durement éprouvées et complètement sous les eaux, se situent toutes dans un même axe notamment en amont et en aval du pont de l’hôpital de Sélibaby , dont l’ancien pont a été détruit et remplacé par un autre construit à la faveur de la réalisation de la route sélibaby- Gouraye.

Il y a des signes qui ne trompent pas ! Le capital symbolique souvent négligé dans la conception des ouvrages tels les barrages et les ponts finissent toujours par donner raison aux populations qui connaissent mieux que tout expert leur environnement et leur territoire.

Ces inondations destructrices qui ont jeté dans la rue de nombreux foyers – le décompte des familles affectées se poursuit en ce moment- sont tributaires grandement, selon plusieurs notables et cadres de la ville du Pont et des travaux de construction de la route Sélibaby-Gouraye.

Dès lors, pour arrêter ce calvaire des populations, il faut que les autorités au sommet de l’Etat engagent des experts pour déterminer l’origine de cette montée des eaux.

Certains esprits pensent déjà aux effets néfastes du changement climatique, mais j’estime que l’avis des experts nous édifiera plus sur la réalité de ce nouveau phénomène d’inondation de la ville de Sélibaby connue pour être une espèce d’entonnoir où les eaux ne stagnent jamais et restent canalisées dans le talweg du cour d’eau sans exubérance ou débordement.

Cette étude est nécessaire et vitale pour les habitants de Sélibaby qui inspirent la commisération et la compassion à l’image des populations de M’Bout qui sont loin d’oublier le Ramadan 2014 et les Sélibabiens, l’après l’Aid El Fitr.

En attendant les résultats de cette étude qui m’est chère, l’urgence est ailleurs : la mise en place d’une cellule de gestion de crise, recensement des familles affectées par ce drame, l’évaluation des dégâts, apporter l’aide et l’assistance nécessaires aux victimes en termes d’hébergement, de soins, de kit d’hygiène et de vivres.

Les autorités doivent sortir de leur mutisme et se mobiliser comme elles l’avaient fait à Tintane.

En effet, il n’y a pas deux républiques ! Il n’a pas de traitements à géométrie variable. La mobilisation n’a pas été grande à M’Bout, les autorités doivent dès lors se ressaisir pour prouver qu’effectivement - le citoyen qu’il soit de sélibaby, d’Akjoujt , d’Atar ou de Tintane ou de Zoueratt- est la raison d’être de l’action gouvernement ale et des politiques publiques.

Une telle catastrophe ne peut être occultée. J’attends de la presse nationale que les inondations de Sélibaby soient à la une de leurs publications, et titrées dans les journaux des radios et télévisions publiques et privées. C’est un sujet qui offre une source intarissable de réflexion autour de la genèse de nos villes, leur avenir face aux nouveaux défis de l’urbanisation et du comportement de nos élus, les mandataires du peuple, avec en toile de fond leur légitimité réelle : sont-ils proches de ceux qui les ont élus ? Une large diffusion, informer juste et vrai sur les questions qui touchent et intéressent le peuple, c’est cela le rôle de la presse, si elle ne veut pas trahir sa mission.

Les Sélibabiens qui ont pris l’habitude de compter sur eux-mêmes depuis des années se déploient avec les moyens du bord pour juguler les effets pervers de ces inondations jamais connues de mémoire de Sélibabiens. Cependant, ils regardent du côté de Nouakchott et espèrent que la réaction des autorités sera à la mesure de l’éclat de la dimension des récentes visites qu’ils ont réservé au chef de l’Etat dans la capitale du Guidimakha.

« Le cri du pauvre monte jusqu’à dieu mais, il n’arrive pas à l’oreille de l’homme ! »

A quelques jours de l’investiture du président de la république, pour un second mandat, je souhaiterais que les autorités entendent le cri de détresse des populations de Sélibaby et du Guidimakha, qui ont plébiscité le choix de Mohamed Ould Abdel Aziz.


Avec Cridem, comme si vous y étiez...








Etudiant 73

"La blessure de Bedr ne va pas perturber l’investiture du président"

  Selon le ministre mauritanien de la communication la blessure par balle de Bedr Ould Abdel Aziz "ne va pas perturber les préparatifs de la cérémonie d’investiture" de son père Mohamed Ould Abdel Aziz.

« L’investiture du président de la République se fait dans le cadre de la Constitution. Bedr Ould Abdel Aziz est lui une personnalité ordinaire. Il n’occupe aucune fonction officielle. Et par conséquent, il est traité comme tout autre citoyen qui serait dans sa situation», a déclaré le ministre en conférence de presse en marge du Conseil des ministres.

Bedr Ould Abdel Aziz, fils du président Mauritanien, a été évacué à l’hôpital militaire dans la nuit de mercredi à jeudi après qu’il a été blessé par balle, a appris de sources hospitalières.

Plusieurs personnalités de l’armée et de l’Etat se sont à son chevet du fils du président. Il y a parmi elles le chef d’état major des armées, le premier ministre, le ministre de la Défense des chefs, des partis politiques et d’autres et autres.

Les circonstances du tir restent inconnues, mais Badr serait touché vers minuit alors qu’il se trouvait aux alentours du palais présidentiel.

L’incident vient 48 heures avant l’investiture du président Mohamed Ould Abdel Aziz pour un deuxième et dernier mandat à la tête de l’Etat.

Pour rappel, Bedr avait lui-même tiré en janvier 2012 sur une fille Rija Mint Weiss Ould Seyad qu’il avait atteinte aux poumons, à Tevragh Zeina, un quartier huppé de la capitale Nouakchott.

Le président mauritanien Ould Abdel Aziz avait été lui aussi blessé par balle en octobre 2012 dans des circonstances toujours mystérieuses.
Alakhbar

jeudi 31 juillet 2014

Concorde hospitalisé en France dans un très grave

Concorde hospitalisé en France dans un très grave

Samba Gaye dit Concorde, richissime marabout et hommes d’affaires mauritanien des années 90, est malade et hospitalisé à Kremlin Bicêtre (banlieue parisienne) dans un état très grave, rapporte mercredi le forum sénégalais «Seneweb».

Il est arrivé dans cette formation sanitaire « après que plusieurs centres hospitaliers ont refusé de l’accueillir faute de prise en charge sanitaire ».

Ainsi, le ressortissant de Kaédi, que l’ancien président zaïrois avait surnommé « Demi-Dieu » et dont les frasques avaient les choux gras de la presse française et africaine à l’époque, qui recevait régulièrement l’opposant Abdoulaye Wade dans une suite de l’hôtel Concorde La Fayette, serait aujourd’hui sans le sou.

Ceux qui ont dégusté les belles chansons à la gloire de M. Gaye, composées par des artistes de renom tels qu’Ami Koita, Abou Djouba, Youssou N’Dour, Baba Mall, Ousmane Hamady Diop…. saisissent tout de suite jusqu’à quel degré le destin peut être cruel pour la créature.
Le Calame

“La guetna festival des dattes" à Atar: les préparatifs vont bon train

“La guetna festival des dattes La commission préparatoire de "La Guetna festival des dattes" qui s’est redue à Atar cette semaine a décidé de monter la tribune officielle des spectacles dans l’aire qui fait face a l’hôtel de ville et dresser les stands d’exposition des produits maraichers, artisanaux et autres dans le stade Omnisport de la ligue régionale de foot ball.

Un grand couloir de liaison entre ces deux pôles a été aménagé pour la circonstance. L’Union des associations féminines de l’Adrar qui a , a sa charge ce travail titanesque, multiplie et déploie d’énormes efforts pour donner tout l’éclat qui sied a cette 5eme édition du festival des dattes qui se tient pour la première fois en Adrar du 7 au 9 Aout 2014.

La commission préparatoire a également prévu dans le programme du festival, une visite du site « Azougui, capitale Almoravides », tout comme une sortie excursion aux hôtes de marque à Terjit pour leur permettre de découvrir les sites touristiques de la région.


Les populations d’Atar s’attendent a ce que ce festival leur apporte plusieurs retombées tant au plan économique, culturel, commercial et social.


Slama
 Adrar Info

URGENT :Bedr se rétablit et regagne le domicile familial

 URGENT :Bedr se rétablit et regagne le domicile familial

  Des sources particulières ont révélé à l’instant le rétablissement progressif du fils du Président de la République Bedr Ould Abdel Aziz de sa blessure accidentelle par tir de balle mercredi soir et son retour au domicile familial, après avoir subi une opération réussie, effectuée à l’hôpital militaire de Nouakchott sur sa personne par une équipe médicale spécialisée.

Selon des sources, Bedr, touché à la cuisse, ne présentait pas de blessure grave d’où son hospitalisation pour quelques heures seulement suivie par la suite par sa sortie de l’hôpital.

Il est à noter que le fils du Président de la République est comme tout autre citoyen et qu’en conséquence, il est anormal que l’incident soit accompagné d’un tapage médiatique ou politique exagéré et nourri à des fins non avouées , du fait que le jeune, comme toute autre personne a été blessé accidentellement, admis à l’hôpital duquel il est sorti après avoir bénéficié des soins nécessaires.

Le Veridique

Le fils du Président est hors de danger… Réactualisé

Le fils du Président est hors de danger… Réactualisé

Blessé accidentellement par balle mercredi, tardivement dans la soirée, le fils du Président de la République Bedr Ould Mohamed Ould Abdel Aziz est hors de danger.

C’est ce qu’affirment des sources proches de l’hôpital militaire dont les assertions sont corroborées par la poursuite de son hospitalisation dans cette structure sanitaire réputée par la qualité de ses soins de ses spécialistes au lieu de son évacuation à l’étranger.

Selon d’autres sources, Bedr n’a pas été atteint dans un endroit mortel par la balle tirée accidentellement de son arme au moment où il était en train de la nettoyer.

Ces dernières informations écartent les hypothèses médiatisées par certains sites évoquant une tentative d’assassinat du fils du Président de la République pour gâcher les joies de l’investiture de Ould Abdel Aziz prévue le 2 aout et de revanche prise par les proches de la jeune Raja Mint Essyad, handicapée à vie, suite à un autre tir de balle accidentel, provenant d’une arme appartenant à Bedr Ould Abdel Aziz.
Rapide Info

Mauritanie : Le fils du président mauritanien blessé par balle !

Mauritanie : Le fils du président mauritanien blessé par balle !   Badre Ould Abdel Aziz le fils du président mauritanien est actuellement admis à l’hôpital militaire de Nouakchott où il obéit à des soins intensifs suite à sa blessure d’une balle.

Tous les hauts gradés et grandes personnalités de la République sont mobilisés ont pris d’assaut hier soir et aujourd’hui l’hôpital militaire pour s’assurer de l’état de santé du fils du Président de la République dont l’investiture se tiendra dans les prochaines 72h.

Le fils du Président Bedr avait été accusé en 2012 de tir de balle accidentel sur une jeune fille du nom de Raja Mint Weiss Ould Seyad. Ce qui fait resurgir le scénario possible d’un acte de vengeance des parents de la fille dont certains, avaient juré, selon des médias, à prendre leur revanche, prétextant que leur fille est condamnée à garder le lit après sa blessure.
Rapide Info