lundi 4 février 2013

Appui de la SOMOGAZ à la 3eme édition du Festival des villes anciennes : Du Gaz à quantité suffisante à Tichit

Créée en 1987 la société nationale de Gaz (SOMAGAZ) a pour mission l’importation, le conditionnement et la distribution du gaz butane sur l’ensemble du territoire. Fidèle à sa mission cette société d’utilité publique a dépêché à Tichit des citernes de gaz pour desservir le marché local à l’occasion de la 3eme édition du festival des villes anciennes. En tout la Somagaz a disponibilisé huit tonnes de Gaz vendues à des prix concurrentiels et 400 emballages (12kg, 6Kg valse, 6 Kg robinet et le B3 de 2,5 Kg) vendus à des prix réduits à 50%. La mission dépêchée par la SOMAGAZ à Tichit était une aubaine pour les populations de Tichit qui ont pu bénéficier d’un service de qualité avec des tonnages respectant les normes et des emballages sortis tout droit de l’usine. Rencontrées sur place de nombreuses personnes ont exprimé leur entière satisfaction. Salmasry Mint Dah ménagère de son état n’a pas manqué de remercié SOMAGAZ pour cette action louable : « S’il y a une action positive que cette 3eme édition a permis de nous procurer c’est bien celle de la SOMAGAZ. Le GAZ est une denrée de première nécessité dont on ne peut plus s’en passer. Nous demandons à la Direction de la SOMAGAZ de nous doter d’un centre d’enfûtage pour donner plus de consistance à cette action » soutient-elle. Même son de cloche pour Med Lemine Ould Moussé qui reconnaît que l’acte posé par la SOMAGAZ s’inscrit en droite ligne de la politique de la lutte contre la pauvreté menée par le Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz. Notons que l’équipe de la SOMAGAZ qui a séjourné à Tichit dans le cadre de la 3eme édition du festival des villes anciennes était composée de Mr Mohamed Ould Isselmou cadre à la direction commerciale, Mr Mohamed Lemine Ould Toura chef de dépôt Tidjikja, Mr Mohamed Ould Saîd remplisseur et Mr Jiyid agent de sécurité. Khalil sow-Tagant

samedi 2 février 2013

Spéciale 3eme édition du festival des villes anciennes: Morceaux choisis

Forte affluence, beaucoup de moyens mais réussite mitigée
Les rideaux viennent de tomber sur la troisième édition du festival des villes anciennes tenue cette année à Tichit du 24 au 30 janvier 2013. Cette 3eme édition a été marquée par une forte affluence de visiteurs (plus de 6000 selon certaines sources) venus des quatre coins du pays et un grand budget (plusieurs centaines de millions) dont l’impact sur le quotidien des populations locales reste à prouver. Toutefois, même si l’on déplore le faible niveau des prestations artistiques et le côté organisationnel qui a péché par moment par flottement de certaines commissions (accueil, hébergement, tribune officielle), il n’en demeure pas moins que le festival de Tichitt a vécu et il a servi non seulement à faire sortir cette ville de l’oubli dû à son difficile enclavement (230 kilomètres de route accidentée entre Tichitt et Tidjikja) mais aussi à faire découvrir aux visiteurs et au reste du monde à travers les médias nationaux et internationaux les richesses de cette merveilleuse cité.
Charmes incommensurables d’une cité fascinante
Cité médiévale jadis carrefour commercial et culturel, Tichitt a renoué avec sa tradition hospitalière en accueillant lors de cette troisième édition du festival des villes anciennes de nombreux invités qui durant leur séjour ont pu découvrir les charmes de Tichitt la sainte, Tichitt la dépositaire de milliers de manuscrits (20000 manuscrits), sa mosquée légendaire et ses riches musées, Tichitt terreau du brassage culturel, Tichitt et sa Sebkha, ses caravanes et ses Oasis. Fondée par le saint chérif Abdel Moumene, cette ville datant du XII siècle était une étape importante pour les caravanes allant d’Ouadane vers Tombouctou. Centre commercial parmi les plus florissants de l’Afrique de l’Ouest l’on venait de partout pour s’y approvisionner en tissu venant du Soudan, en sel, en gomme arabique et en cuir. Egalement, cité religieuse, Tichitt a accueilli plusieurs disciples venus parfaire leurs connaissances islamiques auprès d’érudits reconnus par l’immensité de leur savoir, leur piété et leur sagesse. De sources sûres, le cimetière de Tichitt compte plus de quatre cent saints parmi les plus vénérable du pays.
Le président de la République au sommet de la colline d’Agreyjittt
Pour ceux qui doutaient encore de la bonne santé du Président de la République après son internement en France suite à l’accident de Toueila, la preuve est faite qu’il se porte désormais à merveille. Arpenter la colline d’Agreyjit n’est pas une mince affaire et il n’est pas donné à quiconque de le faire. Situé à plus de deux cent mètres d’un itinéraire plus qu’accidenté, le sommet de la colline d’Agreyjit attire par ses charmes (les traces d’un village préhistoriques). C’est après les explications données par le directeur du musée national Kane Hadiya au Président de la République, que ce dernier a décidé d’aller voir de ses propres yeux à quoi ressemble ce site dont le directeur du musée dit qu’il constitue le point de départ de l’agriculture moderne et des pratiques religieuses basées sur l’adoration d’un taureau hermaphrodite (male-femelle). C’est donc au petit matin que le Président de la République a quitté Tichitt pour se rendre au site historique d’Agreyjit (42km) accompagné d’une délégation dont seulement quelques intrépides l’ont poursuivi jusqu’au sommet de la colline. Désormais le Président de la République pourrait lancer un défi à ses adversaires politiques en les invitant au concours d’escalade de la colline d’Agreyjit !
Augmentation de la prime d’éloignement du personnel enseignant de Tichitt décidée par Ould Bahiya
Arrivée à Tichitt au bord de son véhicule tout terrain, le ministre d’Etat à l’Education Nationale à l’Enseignement Supérieur et à la recherche Scientifique Mr Ahmed Ould Bahiya a pu mesurer combien le personnel enseignant en service dans cette Moughatta est victime d’isolement. Pour prouver sa compassion face à la difficile situation vécue par ces soldats de l’éducation en première ligne sur le front du combat contre l’ignorance, le ministre d’Etat a décidé de majorer leur prime d’éloignement. Une décision bien appréciée et qui a suscité une large satisfaction au sein du milieu éducatif local.
Nmadis, Ladem et la troupe folklorique de Tichitt, Les parents pauvres du festival
Les représentants de ces trois groupes rencontrés lors de la 3eme édition du festival des villes anciennes n’ont pas mâché leurs mots. Tous ont déclaré avoir subi une marginalisation de la part des organisateurs du festival qu’ils accusent de faire du deux poids et deux mesures. Nmadis et Ladem ce sont deux groupes communautaires encore marqués par la vie bédouine (chasseurs pour le premier groupe et propriétaires de camelins pour le second) et la troupe folklorique de Tichitt c’est le reste d’une civilisation négroïde locale en extinction.
Sidy Ali un homme prêt de ses sous !
Sans conteste le Directeur de la fondation des villes anciennes Mr Sidi Aly Ould Sidi Aly a marqué les esprits de tous les festivaliers par sa rigueur, sa capacité d’écoute et par son endurance. Rarement un seul homme n’a pu faire face efficacement à une escouade de trimards en parant systématiquement et avec succès à leurs assauts répétés. Prêt de son escarcelle, Sidi Aly donnait par moment l’impression de faire exprès de faire languir ceux qu’ils devaient servir. Des engueulades ont eu lieu à plusieurs reprises, certains ont même tenté de l’agresser physiquement, mais il est toujours resté entier.
Autorités régionales et Elus à la hauteur de l’événement
Les autorités régionales du Tagant (Wali et Hakems), les élus (Député, sénateur, maire de Tichit et maire de Tidjikja) ont contribué efficacement à la réussite de la 3eme édition du festival des villes anciennes à travers leur engagement personnel, l’hospitalité réservée aux invités et l’utilisation optimale des moyens financiers mis à leur disposition par l’Etat pour l’accueil, la prise en charge des festivaliers et leur acheminement à Tichitt.
Khalil Sow-Tagant

vendredi 1 février 2013

Santé – R'kiz: Le médecin chef et l'infirmier major mis à pied

Le médecin chef Hassan Diakité et l'infirmier major Mohamedhen Ould Bella au centre de santé de Rkiz ont été mis à pied pendant un mois en plus de la mutation dans d'autres wilayas, a fait savoir à Alakhbar une source du secteur de la santé. La source a ajouté que le médecin est affecté à Ould Yangé sans préciser le lieu de l'affectation de l'infirmier. Ces mesures en guise de sanctions viennent suite au rapport d'enquête du ministère de la santé délivrée au gouvernement, lequel a attesté que les enfants décédés lors de la campagne de vaccination ont été injectés par une substance anesthésiante. ALAKHBAR

lundi 21 janvier 2013

3 eme édition du Festival des villes anciennes: Tichit prête à accueillir ses invités

Les préparatifs de la 3eme édition du festival des villes anciennes, qui se tient cette année à Tichitt du 24 au 28 janvier courant, sont au point. Les aspects liés à l’accueil et à l’hébergement ont été réglés à travers la mise en place des comités d’accueil et la location de plusieurs maisons pour accueillir les invités. Aussi, la tribune officielle, les stands pour les expositions de produits artisanaux et les différents podiums pour les soirées artistiques et culturelles, sont érigés. Les travaux de l’hôtel construit par le député de Tichitt Mr Bouyé Ahmed Ould Chrif Hamahoulah pour accueillir les visiteurs de marque ont été également achevés et le service d’accueil y est déjà sur place. De retour de Tichit où il s’était rendu pour s’assurer du bon déroulement des préparatifs du Festival, le Wali du Tagant Mr Yahya Ould Cheikh Mohamed Vall a noté avec satisfaction le parachèvement des travaux lié à l’approvisionnement de la ville en eau et en électricité et le règlement des problèmes de communication (téléphone, internet). D’ailleurs cette note de satisfaction a été confirmée par la ministre de la Culture de la Jeunesse et des Sports Cissé Mint Cheikh Ould Boyde lors de sa rencontre avec la presse et le directeur de la fondation des villes anciennes Mr Sidi Ali Ould Sidi Ali au cours d’une émission de la TVM, indiquant tous deux que les préparatifs du festival sont au point et invitant par la même occasion les visiteurs à venir nombreux participer à ce moment historique dans une ville aux multiples attractions. La mosquée de Tichitt, la tombe de Chrif Abdel Moumene et celle de son compagnon Haj Ouzmane, les multiples bibliothèques de la ville regorgeant des milliers de manuscrits, la Sebkha de Tichitt, la maison du vénérable Dade Ould Iddé, le musée de Tichitt, l’ancienne ville d’Aghreyjit à l’architecture préhistorique… sont, en effet, autant d’attractions qui suscitent l’admiration .
Khalil sow-Tagant

dimanche 20 janvier 2013

Zouérate : démantèlement d’un réseau de vente de boissons alcoolisées.

Les limiers du commissariat de Zoueratt ont mis la main sur une bande de fabricants et consommateurs de la boisson alcoolisée de fabrication artisanale « soum soum », ainsi que l’arsenal de fabrication, a-t-on pu constater sur place dimanche. Le principal trafiquant appréhendé est de nationalité algérien. Il installé depuis quelques années dans la cité minière. Ses complices sont deux jeunes mauritaniens dont un multirécidiviste. Le débit de boisson était détenu par l’algérien tenancier d’un restaurant et qui fabriquait du « soum soum » dans l’une des chambres de sa maison. Selon certaines sources, le trafiquant avait des clients particuliers dont des étrangers qu’il ravitaillait à partir sous le couvert de livraison de repas. Selon la même source, il revendait une petite bouteille d’1 litre d’alcool à 16 000 Um. Le saisi comportait trois seaux de 20 litres chacun qui contenaient de la boisson en cours de préparation et quelques bouteilles de boisson alcoolisée prête. Les trafiquants ont été placés en détention et devraient être mise en examen pour trafic de substances psychotropes interdites dans le pays.
D.S Correspondant Permanent au Tiris Zemmour. Source : Mauriweb (Mauritanie) Cridem

Un père porte plainte contre une infirmière pour « échange » de bébé à Nouadhibou

Mohamed Ould Seyka, père de famille à Nouadhibou a porté plainte contre une infirmière de l’hôpital régional, plus connu sous le nom de l’hôpital espagnol, pour avoir « échangé » son bébé contre un autre, attend-on appris de bonne source dans la capitale économique. Une enquête judiciaire a été ouverte par la police, indique-t-on de même source pour tirer cette affaire au clair. Selon des témoins, deux enfants nés en difficulté étaient logés dans des éprouvettes à leur naissance. Les nouveaux-nés avaient été remis à leurs mamans. Mais rentrée chez elle, l’une d’elle instinctivement remarque que l’enfant qu’elle tenait dans ses bras n’était pas le sien. Les parents sont alarmés et concluent à un échange de leur bébé par l’infirmière, Coumba Sy, qui en assurait la garde. Selon d’autres sources, cette affaire est bien réelle mais repose juste sur une erreur de l’infirmière, loin de tout trafic.
Source : Mauriweb (Mauritanie) Cridem

samedi 19 janvier 2013

Socièté civile : Lancement des activités du Réseau Espoir-Tagant

Seize organisations non gouvernementales regroupées au sein du Réseau Espoir-Tagant nouvellement constitué, ont organisé une journée d’assainissement à Tidjikja , vendredi 18 janvier, pour marquer le démarrage de leurs activités. Ce fut une occasion pour le Réseau Espoir-Tagant de faire œuvre utile en débarrassant différents points de la ville (marché, les abords du dispensaire de Tidjikja, l’axe principal allant de la gendarmerie à l’aéroport) des détritus qui les encombraient à la veille du festival des villes anciennes qui se tient cette année au Tagant (Tichitt). Le coup d’envoi de cette journée d’assainissement initiée par le Réseau Espoir-Tagant a été donné par le conseiller du Wali chargé des affaires politiques et sociales Mr Niang Hamat Abou et le Hakem de Tidjikja Mr Ahmed Ould Mohamed Mahmoud Ould Deh en présence du Commandant du GR8 Lieutenant colonel Chigaly , le maire adjoint de Tidjikja Mr Tar Ould Sid’Ahmed et des membres du bureau du réseau. L’opération a reçu l'appui des autorités administratives régionales et le soutien matériel de la mairie de Tidjikja, le GR8, la Drefp du Tagant, la délégation régionale du MDR, la Direction régionale de l’Hydraulique et de l’Assainissement, la Dras, la délégation de l’Environnement et du développement durable, l’antenne régionale du CSA, la Coordination régionale du Masef, la délégation régionale de la jeunesse et le CFPP de Tidjikja qui ont appuyé le réseau en mettant à sa disposition du matériel d’assainissement (pelles, râteaux, brouettes, pics). Enfin le réseau Espoir-Tagant (Tidjikja (neuf ONGs) Moudjeria (trois ONGs), NBeika (une ONG), Rachid (deux ONGs), Goudiya (une ONG) et Tichitt (une ONG)) envisage d’organiser des activités de volontariat au niveau des communes du Tagant où il est représenté.
Khalil Sow-Tagant

vendredi 18 janvier 2013

Un bombardement aérien détruit une voiture près de Fassala

Des témoins oculaires ont déclaré que l’aviation militaire française a détruit des voitures appartenant aux combattants islamistes près de la frontière avec la Mauritanie, non loin de la ville de Fassala. Cette information a été confirmée à Sahara médias par une source sécuritaire qui a affirmé que l’opération s’est passée à 225 km du territoire mauritanien, sans donner de précision sur l’identité de la cible visée. Le correspondant de Sahara médias dans la ville de Néma, citant des hommes fuyant les zones de combat, qu’ils ont vu quatre voitures incendiées qu’ils pensent appartenir à des éléments d’Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI). Au même moment, 22 Mauritaniens bloqués dans la localité malienne de Niono ont lancé un appel aux autorités mauritaniennes pour leur assurer une protection pour rentrer au pays. Source : Sahara Medias (Mauritanie)

Touldé / Boghé : Des incendies mystérieux sèment la panique dans la population.

Depuis trois jours, des incendies très mystérieux ravagent de nombreuses concessions dans le village de Touldé, localité de la ville de Boghé. Personne n’est encore en mesure de déterminer l’origine ou les causes de ces incendies qui ont occasionné beaucoup de dégâts matériels dans les maisons sinistrées. Ces incendies, ce sont déclarés en premier chez la famille Diallo dans une chambre, avant de se propager petit à petit dans d’autres chambres puis dans les autres maisons voisines. Ce qui est bizarre, dès qu’une chambre prend feu avant que les personnes ne finissent de circonscrire les flammes, des cris s’élèvent ailleurs pour alerter les villageois sur le déclenchement d’un autre incendie dans une autre chambre de la même concession ou dans une autre maison. Au moment où nous sommes arrivés sur les lieux du sinistre, la famille de Mamadou Moussa avait déjà évacué tous les bagages qui se trouvaient dans les chambres dont une bonne partie était déjà calcinée (matelas, nattes, coussins, draps, couvertures, moquettes, sacs, valises, fournitures scolaires, ustensiles de ménage, téléviseurs, récepteurs). Pendant que Mamadou Moussa nous expliquait le film du déroulement de l’incendie qui a frappé les différents bâtiments de la maison, on entend des cris, « N’diyam, N’diyam, N’diyam » en français « de l’eau, de l’eau, de l’eau ». C’est des flammes qui surgissent subitement dans matelas (voir photo). Juste après la prière de El Fitr, alors que les fidèles psalmodient, des cris s’élèvent encore. C’est des flammes qui surgissent dans un jardin maraîcher chez la famille Diallo. A peine, ce feu circonscris, des flammes surgissent encore du haut d’un hangar ainsi de suite jusque tard dans la soirée. Du coup, une grande panique s’est emparée hier soir des populations de Touldé qui ont veillée toute la nuit durant pour éviter de se faire surprendre par les flammes. C’est un phénomène bizarre qui continue encore d’intriguer les populations qui ont fait montre d’une très grande solidarité pour aider les sinistrés à surmonter le choc et circonscrire ces incendies tout au long de la soirée. Les notabilités religieuses ont appelé les populations à offrir de l’aumône aux personnes démunies, à laver leurs cœurs et se pardonner. Des prières ont été dites à la mosquée du village pour implorer la miséricorde divine afin que s’arrête ce malheur qui frappe plusieurs familles dont celle de Samba Abdoulaye Lô, adjoint au maire de Boghé. En plus de la famille Lô, cet incendie a frappé aussi, les familles de Mamadou Moussa, Djiby Fatim, Samba Fatim, Ablaye Moussa N°2, Bocar alassane, Abdourahim Dia (entrepreneur), Adama diallo, Fama Mayo, Diallo Hamadi dit Thiadji, Djiby Bocarel, M’baye et de Amadou Soyibou. Les autorités locales ont fait le déplacement à Touldé et ont fait appel aux services de la protection civile de la Wilaya qui n’ont pas tardé à venir sur les lieux pour se joindre aux efforts déjà déployés par les jeunes, les femmes du village. Il faut rappeler que le sinistre qui frappe ces familles à Touldé avait en 2011 frappé la famille de Samba Seydi Djigo à dans le quartier de Niloy.
Efoutiyou Cridem

jeudi 17 janvier 2013

Tagant: Formation des relais communautaires et des facilitateurs ATPC organisée par l’ONG Mondi sur financement de l’UNICEF

En réponse à la situation nutritionnelle dans la Wilaya du Tagant, l’ONG Moundi a organisé à Tidjikja une formation de trois jours au profit de 100 relais communautaires et 10 facilitateurs ATPC. Pendant cette période les participants ont été formés sur les règles de l’hygiène et de l’assainissement et sur les méthodes de traitement de l’eau.
Mariem Dia (relais communautaire à Moudjéria)
Nous venons de subir une formation de trois jours dispensée par l’ONG Moundi sur financement de l’UNICEF. Nous avons été formées sur plusieurs modules notamment : le lavage des mains, les dangers liés à la défécation à l’air libre, l’utilisation des moustiquaires imprégnées pour lutter contre le paludisme, les bienfaits de l’allaitement maternel et les méthodes de traitement de l’eau. Nous remercions UNICEF pour son appui sans lequel cette formation n’aurait pu se tenir. Nous nous engageons à diffuser le plus largement possible les nouvelles idées acquises lors de cette formation pour contribuer au changement des comportements.
Najia Mint Mouhayjib (relais communautaire à Tidjikja)
J’ai tiré profit de cette formation en acquérant de nouvelles idées sur l’hygiène et l’assainissement. J’ai compris qu’il faut avoir les mains constamment propres parce qu’elles sont les premiers véhicules de transmission des maladies. Mais également que la défécation à l’air libre expose les populations riveraines à des risques de maladie. Nous avons été formées sur les méthodes de traitement de l’eau, un module qui a toute son importance si l’on sait que l’eau est une denrée indispensable. Au nom de mes collègues, je remercie UNICEF et l’ONG Moundi pour cette formation.
Khalil sow-Tagant

mercredi 16 janvier 2013

Tagant: Lancement des activités du club du Lycée de Tidjikja

Les élèves du lycée de Tidjikja regroupés au sein du club El Assala ont organisé, l’après-midi du mercredi 16 janvier, une cérémonie marquant le lancement de leurs activités prévues au titre de l’année scolaire 2012-2013. La cérémonie a été rehaussée par la présence du conseiller du Wali du Tagant chargé des affaires administratives et juridiques Mr Mohamed El Mokhar Ould Mohamed Mahmoud qui était entouré du Drefp du Tagant Mr Mohamed Samba Sédinté, du Directeur et des professeurs du lycée de Tidjikja. La cérémonie a été agrémentée par des sketchs fustigeant l’indiscipline de certains élèves et le manque d’intérêt qu’ils affichent par rapport au déroulement des cours. L’attention du public a été captivée par le sang froid des élèves et la maîtrise qu’ils ont affichés tout au long de leurs prestations. Notons que le club Assala envisage d’organiser des rencontres similaires tout au long de l’année afin de contribuer positivement à l’adoption des bons comportements en classe, dans la rue et à la maison. Enfin , ils ont promis de se joindre au Réseau Espoir-Tagant le vendredi 18 janvier pour une opération d’assainissement ciblant le lycée de Tidjikja et certains points de la ville.
Khalil Sow –Tagant

mardi 15 janvier 2013

Tagant: Un homme se suicide à Agreygit!

Un homme de 50 ans répondant au nom de Mohamedou Salem Ould Ahmed Ould Hadj Ely de la tribu de Awlad Bilé a été retrouvé mort par les siens hier matin à Agreygit (localité située à 35 km à l’Est de Tichit). Disparu depuis vendredi matin, d’après ses parents, c’est seulement lundi que le corps du défunt a été retrouvé suspendu au bout d’une corde à l’intérieur de l’une des chambres de la maison qu’il occupait. Les recherches qui ont été menées dans les parages n’avaient pas permis de retrouver l’infortuné. C’est finalement la forte odeur du corps en décomposition de Mohamedou Salem Ould Ahmed Ould Hadj Ely qui a fini par alerter l’entourage et les cousins du défunt se sont finalement rendu à l’évidence en retrouvant le corps de ce dernier inerte suspendu à une corde. Le chef de la compagnie de gendarmerie et le chef de poste médical de Tichit se sont rendus sur les lieux pour constater le décès et s’informer sur les raisons qui ont conduit le défunt à mettre un terme à ses jours. Notons que ce suicide intervient à quelques jours de l’ouverture du festival des villes anciennes qui se tient cette année à Tichitt.
Khalil Sow-Tagant

lundi 14 janvier 2013

Tagant: Formation sur l’APTC/ PFE dispensée par l’ONG Moundi

Cent relais communautaires et dix facilitateurs issus des trois Moughataas du Tagant ont été conviés à Tidjikja à un atelier de formation portant sur le programme WASH IN NUT organisé par l’ONG Moundi avec l’appui de l’UNICEF. Cet atelier qui durera trois jours (14,15 et 16 janvier) est consacré à la vulgarisation des pratiques familiales essentielles (PFE) et l’Assainissement Total Piloté par la Communauté (ATPC). Président la cérémonie du lancement des travaux de cet atelier, le Wali du Tagant Mr Yahya Ould Cheikh Mohamed Vall a remercié l’UNICEF pour ses multiples appuis au Tagant avant de louer les efforts déployés par l’ONG Moundi qui s’inscrivent, dira-t’il, en droite ligne de la politique mise en vigueur par les pouvoirs publics en matière d’hygiène et d’assainissement. Le Président de l’ONG Moundi Mr Lagdhaf Ould Merzoug et la coordinatrice régionale du MASEF Mme Aminetou Mint Neama qui avaient pris la parole, auparavant, ont expliqué le but visé par l’atelier et les résultats auxquels il permettra de faire parvenir. La vulgarisation des pratiques d’hygiène et d’assainissement et leur généralisation sont entre autres résultats attendus ont-il mentionné. Il convient de souligner enfin que l’ONG Moundi qui est une Association pour le Secours et le Développement intervient spécialemen au Tagant où elle est en partenariat avec le Programme Alimentaire Mondial ( PAM) dans le cadre du programme Centre de Récupération nutritionnelle Ambulatoire pour Modérer (CRENAM) et celui des Stocks Alimentaires Villageois de Sécurité (SAVS). Cette ONG a en charge 39 CRENAM et 122 SAVS repartis entres les trois Moughataas du Tagant.
Khalil Sow- Tagant

Boghé : Journée spéciale de consultations des malades mentaux à l’antenne sociale départementale

Le centre de l’antenne sociale de Boghé a abrité ce samedi 12 janvier 2013 une journée spéciale de consultation des malades mentaux. La célébration de cette journée a été présidée par le maire adjoint de la commune de Boghé Mr n’diaye Djibril accompagné du SG de la commune Mr Diakité. L’objectif de cette journée est de s’entretenir avec les malades mentaux , de leurs familles , recevoir un traitement médical ( gratuit) et des conseils pour la prise en charge de l’enfant en question. Cette deuxième phase de consultation ( des malades mentaux) devrait en principe coïncider avec la journée internationale des handicapés le 3 décembre 2012 mais pour des raisons majeures, l’antenne sociale départementale, en coordination avec les partenaires au développement : World vision ( ADP Boghé), commune de Boghé , comité de santé et solidarité ont préféré en commun un accord célébrer cette journée ce samedi. Cette consultation vise des handicapés mentaux de tout genre dont les enfants de 0 à 18 ans. il s’agit de consultations médicales et psycho -sociales. 150 patients et leurs familles venues de différents horizons de la commune se sont consultés et mêmes d’autres patients de Bouhdida et de Boutilimit ont bénéficié de consultations et de traitements. toutes les phases ( la première mois de Mars 2012 durée 5 mois et cette deuxième ) de consultations de l’antenne sociale ont été faites par le Docteur Idimou Ould Khatry ( Hôpital de Kaedi) assisté de : Mr Niang Oumar major( CSB ),de Mr Dem ( laboratoire CSB) et sous la supervision de Madame Ba Aissata Souleymane ( responsable de l’antenne sociale départementale de Boghé) accompagnée de Khadijetou Bocar animatrice de l’antenne sociale . Selon plusieurs familles interrogées, ces phases de consultations sont très salutaires et Les familles ont exprimé leurs satisfaction générale..
Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel CP Le Véridique au Brakna.. Cridem

samedi 12 janvier 2013

Action de protestation à la prison d’Aleg.

Vendredi 11 janvier 2013 aux environs de dix sept heures, les pensionnaires de la plus grande prison nationale du pays, le bagne d’Aleg ont entrepris d’incendier matelas, couvertures et autres bagages en guise de protestation, selon eux, contre leurs mauvaises conditions de détention et le refus des autorités régionales administratives et sécuritaires d’ouvrir un quelconque dialogue avec leurs délégués. Cette action souvent utilisée par les détenus pour se faire entendre a créé une grande panique à Aleg où, juste après, toutes les autorités ont accouru pour se retrouver dans l’enceinte de la très grande prison qui abrite plus de 700 bagnards. Aussitôt arrivé sur les lieux, le Wali d’Aleg a organisé une réunion avec les prisonniers et a écouté leurs principales doléances dont entres autres l’amélioration de leurs conditions de détention notamment en surveillant leur nourriture et en mettant à leur disposition un médecin traitant au sein de la structure pénitentiaire. Ouverte depuis un an pour décongestionner les prisons de Nouakchott, celle d’Aleg a vu l’affectation de plusieurs centaines de prisonniers de toutes les catégories et de tous les âges. Jusque là quelques uns sont morts. Le dernier en date est un prisonnier sénégalais qui est passé de vie à trépas à l’hôpital régional d’Aleg le 4 janvier dernier à la suite d’une sévère anémie. Le défunt venait juste de bénéficier d’un non lieu et devait en principe rentrer chez lui à Matam au Sénégal.
Source : Le Calame (Mauritanie

- A Monsieur le Président de la République:« Je cherche mon droit avec le commissaire du CSA en tant que citoyen surtout pauvre ».

A Monsieur le Président de la République:« Je cherche mon droit avec le commissaire du CSA en tant que citoyen surtout pauvre ». Hier , après son discours devant l’assemblée nationale, le premier ministre a eu un entretien avec Aziz Ould Abeidna, après que le député du RFD, Ould Minni ait soulevé devant ses pairs, l’injustice que subit ce citoyen « Opposant pour toujours ». A la suite de cet entretien, le premier ministre a invité Ould Abeidna a passer dans son bureau la semaine prochaine non sans confier son dossier a l’un de ses conseillers présents. Après moult démarches, rencontres de personnalités influentes et lettre adressée au président de la République, Ould Abeidna a peut être tapé enfin a la bonne porte… « Je cherche mon droit avec le commissaire du CSA en tant que citoyen surtout pauvre ». Aziz Ould Abeidna, ancien représentant du parti UFD ère nouvelle et après représentant du RFD à Atar et ami intime de Ould Daddah, depuis 1996, rejoint le parti de l’opposition, Convergence pour la Démocratie Nationale « CDN ». Ainsi, l’homme a changé de cap de l’opposition à l’opposition. Aziz Ould Abeidna, ce fervent opposant et ancien élève de cadihines, à l’âge de 15 ans, est issu d’une famille « gaulliste » (la droite française). Il a, en outre, dirigé le mouvement des jeunes indépendants à Nouadhibou et à Atar entre 1986 et 1994. Officier de la marine marchande et contrôleur de pêche sortant de la Corée du sud dans les années 80, l’homme s’est toujours porté candidat contre tous les partis (PRDS, PRDR, ADIL, Indépendant) amis et cousins. Maintenant, il est candidat pour le sénateur d’Atar depuis avril 2011 et adversaire de l’UPR. Il a voté « non » à tous les référendums successivement organisés par les différents pouvoirs, de Taya jusqu’à Ely Ould Mohamed Vall. Aziz Ould Abeidna, figure charismatique, est pour l’application de la politique française juste et équitable. il n’a jamais été élu parcequ’il n’a jamais été du parti au pouvoir ni de la famille. Certes opposant, mais l’homme considère que cela fait partie de son devoir de citoyen de conseiller au Commissaire du CSA d’éviter la politique, de rester neutre pour tous les citoyens et lui rembourser son financement.
---------------------------------- A Monsieur le Président de la République (Président des pauvres) Objet : Demande de Réparation de torts Monsieur le Président,
Je viens par la présente porter plainte auprès de votre haute bienveillance et chercher réparation pour un tort qui m’a été causé par le commissaire à la Sécurité Alimentaire Monsieur Mohamed Ould Mohamedou dit O. leila avec ses trois adjoints : le Directeur de sa programmation M. Baba O/ Walata, le Directeur de son agence d’exécution M. Bamba Ould Levrak et son cousin Chrif Ahmed qui le représente chez nous à Atar soit disant le Délégué au niveau du CSA. Je vous signale, Monsieur le Président que j’ai déjà envoyé deux lettres et demander audience auprès du Premier Ministre (tutelle du CSA) sans suite à ma requête. En 2008, après avoir été confirmé par le Comité Régional de Développement de l’Adrar, j’ai été sélectionné avec huit (8) autres personnes pour bénéficier de seuils de ralentissement pour le site de ‘Guelb Ahmed Ould Abeidna’, sis à 47 kilomètres d’Atar dans la commune de Ain Ehl Taya. Par la suite et en accord avec les donateurs italiens (je dis bien italiens), le wali, le délégué du développement rural, et la commune de Ain Ehl Taya , Il a été décidé de transférer ce projet vers teyarett Nkhal, plus populeuse et plus politisée. Mais à ma grande surprise, les investissements promis n’ont pas été réalisés. Sur les 20 Millions d’investissements prévus, seuls 4 Millions ont été dépensés effectivement pour la construction d’un local pour la vente de viande à Azougui, et la réhabilitation de deux seuils de ralentissement, l’un à Illij et l’autre à Dhaya El Malha pour 2 membres de l’U.P.R. Il s’agit là d’une injuste flagrante, Monsieur le Président, et notre coopérative a été victime parce que le Commissariat pensait que nous étions une proie facile, car le Président de notre coopérative, moi en l’occurrence, représentait à l’époque Ahmed Ould Daddah, au niveau de la ville d’Atar. Il est d’ailleurs connu que j’ai toujours été, sous tous les régimes, dans l’opposition, mais j’ai toujours été respectueux de la loi, et je pense que le fait d’être opposant ne doit rien enlever à mes droits de citoyen. Enfin de compte, Monsieur le Président, je vous demande d’intervenir instamment pour que le droit soit respecté, et pour que notre coopérative reçoive entièrement le financement qui lui a été accordé par le projet italien. Je vous demande, Monsieur le Président, de conseiller l’administration comme vous l’avez d’ailleurs toujours fait, de rester équitable et donner le droit au citoyen pauvre. Je vous remercie, Monsieur le Président de la République.
Abdel Aziz Ould Abeidna Citoyen propre d’Atar « Opposant pour toujours » Tél. 22 35 27 80 47 51 07 36 36 55 27 80

vendredi 11 janvier 2013

Boghé : Sensibilisation sur les violences contre les enfants.

Le lycée de formation technique et professionnel de Boghé a abrité une rencontre dont l’initiative émane de la direction régionale de l’éducation et de la formation professionnelle du Brakna. Cette rencontre a réuni les directeurs des écoles et quelques enseignants, dans le cadre d’un système de protection aux milieux scolaires en partenariat avec L’Unicef. 80 participants, sous la conduite du DREN du Brakna Mr Sidi Mohamed Ould Hademine, l’inspecteur départemental : Mr Mohamedou Ould Mohameda et du consultant de l’Unicef Mr Mohamed Ould Habib. Prenant la parole Mr le DREN du Brakna a souhaité la bienvenue aux participants des différentes écoles de la commune de Boghé( qui sont le groupe ciblé de la dite activité), ensuite le DREN demandera aux participants de fournir beaucoup d’efforts pour atteindre l’objectif de cette rencontre qui concerne les droits de l’enfant d’une façon générale. Il soulignera enfin que la même rencontre était organisé à Aleg et Cheggar , le 11 et 12 janvier 2013 la commune de Dar El Avia ( 25participants) et Ould Birom ( 15 participants) accueilleront la même rencontre, ce qui fera 120 participants pour les 3 communes. Le consultant de l’Unicef a présenté une communication axée sur la convention internationale des droits de l’enfant et les grandes lignes de cette convention.
Diop Mohamedou Abou et Brahim O Ely Salem CP au Brakna.

jeudi 10 janvier 2013

A propos de la marche des journaliers de Zouerate.

« La marche » des travailleurs des entreprises de la sous-traitance opérant à Zouerate n’est en réalité composée que de quatre personnes dont deux gardiens de la société EBC, il s’agit de MM. Arafat Oud Savra et Mohamed Mahmoud Ould Ahmed ayant respectivement un net à payer mensuel de plus de 100.000 UM ! Le 3ème s’appelle Elemine Ould Dah, un employé de la société STPN, vulcanisateur, en cours de formation en vue de son recrutement. Quant au 4ème marcheur, il s’agit d’un ouvrier pneumatique, Mohamed Salem Ould Ghaïlani de l’entreprise Ets Malha. Selon une source proche du dossier de la sous-entreprise, les travailleurs du secteur ont vu leurs conditions de travail et leurs traitements sensiblement s’améliorer au cours des années 2011 et 2012 grâce aux mesures décidées par la SNIM en concertation avec les pouvoirs publics. Leur net à payer a ainsi augmenté de 50%. La SNIM qui a lancé des tests professionnels pour le recrutement des agents de la sous-traitance exerçant des emplois qualifiés permanents, a déjà recruté prés de 180 agents ayant réussi les tests, tandis que le restant suit une formation à la charge de la SNIM afin de leur permettre de pouvoir intégrer ses effectifs prochainement. En plus, ils bénéficient aujourd’hui de l’indemnité de non logement, de la prise en charge des soins, de congé payé, de la sécurité sociale, des équipements de protection et de sécurité au travail et de leurs droits à la retraite, bref tous les droits prévus par la réglementation du travail. La SNIM effectue régulièrement des audits au niveau des sous-entreprises pour s’assurer du respect de l’application de la législation du travail et des clauses contractuelles. La SNIM effectue régulièrement des audits au niveau des sous-entreprises pour s’assurer du respect de l’application de la législation du travail et des clauses contractuelles. Ahmed Salem Ould Yeslem Cridem

mercredi 9 janvier 2013

Mort d’un chauffeur et de son apprenti à l’intérieur de la cuve de leur camion-citerne

Selon le correspondant de l’ANI à Nouadhibou, un mauritanien chauffeur d’un camion citerne d’évacuation de déchets et son apprenti guinéen sont morts dans la nuits du lundi à mardi prés de Guerra. Selon une source informée, le chauffeur du camion, Cheikhany Ould Yali et son apprenti Abdoullah devraient effectuer une manœuvre habituelle d’évacuation de déchet issus des usines de traitement de poissons dans la décharge communale. Les deux homme ont choisi de s’arrêter avant d’atteindre la décharge pour se débarrasser de la cargaison. La vanne du tuyau d’évacuation a été bloquée. Ce qui a amené l’apprenti à entrer dans la cuve de la citerne afin de débloquer la vanne. Le chauffeur ayant constaté que l’apprenti n’est plus ressorti de la citerne a tenté de le secourir. Les deux hommes périront ensemble à l’intérieur de la cuve du camion citerne, où ils ont été retrouvés par les enquêteurs. Inquiété par le retard inhabituel du retour de l’équipage, le propriétaire camion n’a pas tardé à alerter la gendarmerie. Les gendarmes ont lancé immédiatement les recherches pour trouver le camion non loin de Guerra avec les corps des deux homme sans vie à l’intérieur de la cuve. Les faits ont été constatés , hier soir, aux environs de 00 Heure par le procureur de la république. ANI

mardi 8 janvier 2013

3ème édition du Festival des Villes Anciennes à Tichit : L’AMTCT prend en charge 50% des frais de participation de ses membres.

Dans la cadre sa participation à la 3ème édition du festival des villes anciennes prévu à partir du 23 janvier à Tichit, l’Association Mauritanienne de Tir à la Cible Traditionnelle, a décidé la prise en charge à 50% des frais de participation et d’hébergement de ses participants. C’est à l’issue d’une réunion tenue dimanche que cette décision a été prise avec l’approbation de l’ensemble des membres de l’Association, qui ont souligné l’intérêt de cette participation entrant dans le cadre de la préservation du Patrimoine Culturel Mauritanien à travers les villes anciennes. Le Président de l’AMTCT, M.Khattri Ould Dié, a appelé l’ensemble des membres à œuvrer à la réussite de cette grande manifestation présidée par le Président de la République. L’AMCT qui a déjà participé aux éditions de Chinguetti et de Ouadane participe cette année à Tichit avec 450 personnes avec tout ce que cela comporte comme retombées socio-économiques sur les populations locales de Tichitt
Le Calame