Source : Abdallahi Dieng Ould Cheikh
dimanche 17 mars 2013
APP / Zouerate : Réunion de la coordination élargie à toutes les instances du parti
APP / Zouerate : Réunion de la coordination élargie à toutes les instances du parti
Source : Abdallahi Dieng Ould Cheikh
APP / Zouerate : Réunion de la coordination élargie à toutes les instances du parti
Source : Abdallahi Dieng Ould Cheikh
samedi 16 mars 2013
Hodh El Gharbi / Distribution gratuite de vivres: les vrais-faux bons du PAM / CPSSA
Moustapha O/ Bechir CP HodhsSource : Le Calame (Mauritanie)
vendredi 15 mars 2013
La Caisse de Dépôt et du développement : la dernière ligne droite sur les prêts
S.Diagana
Un mort et trois blessés dans un accident de circulation sur l’axe Nouakchott- Nouadhibou
Source : ANI (Mauritanie)
UNICEF/DREFP du Hod El Gharbi: Organisation de sessions de formation au profit des enseignants du Hod El Gharbi
Khalil Sow
UNICEF/D.R.E.P.F du Trarza: Session de formation au profit des enseignants de Boutilimit sur le thème gestion des Classes Multigrades et l’évaluation selon l’A.P.C.



Armiya Dème
Boghé : la commission nationale des femmes de L’UPR au Brakna Sud
Brahim Ould Ely Salem CP du Calame au Brakna.
jeudi 14 mars 2013
Fête Internationale du 8 Mars à Boghé placée sous le signe de l’insertion des filles en déperdition
Source : Elfoutiyou
L’école 1 d’Aleg : Une vieillie institution scolaire en perdition
Un prestigieux passéLorsqu’en octobre 1939, le gouverneur de l’AOF, en partance pour l’est du pays, supervise son ouverture, c’était à peine une dizaine de bambins craintifs dont l’adhésion des parents avait requis la mobilisation des notables, la notoriété des chefs de tribus et la « rougeur de l’œil » du représentant local de la France. L’école 1, aujourd’hui au centre de la ville, juste derrière l’hôpital régional, était alors loin, au bout de Goueïbina. Les six premières classes, construites en 1938, sont encore solidement debout. Leurs murs, jaunis par le temps, et leurs toits, pleins d’histoire, sous lesquels plusieurs générations sont passées, témoignent d’une époque où l’école voulait encore dire quelque chose. Les fiches scolaires, les registres de tenue du matériel, certaines très anciennes correspondances entre les anciens directeurs de l’école et leur tutelle administrative et pédagogique replongent les visiteurs dans un temps où le savoir, ses sanctuaires et ses dépositaires jouissaient encore de grande révérence. A la rentrée scolaire 72 /73, l’année de mon inscription dans cette école, les livres scolaires de toutes les disciplines, les cahiers de tous les formats, les équerres, règles plates, compas, ardoises, porte-plume, buvards et autres fournitures scolaires remplissaient encore les magasins. La cantine scolaire fonctionnait à plein régime, pour des centaines de pensionnaires totalement pris en charge. Les senteurs des succulents riz et couscous de la gentille et autoritaire Jbaba – Qu’Allah ait son âme ! – embaumaient l’horizon, tous les midis et soirs. Bien que la cantine fût ouverte à tous, les internes provenaient essentiellement des environs d’Aleg : Lemden, Agchorguitt, Azlatt, Zeglane, Moundi, Male… Cependant, les petits citadins ne rataient jamais l’occasion, pendant la recréation, de subtiliser, aux petits bédouins, un bout de pain généralement garni de corned-beef, une viande salée en conserve dont raffolaient les petits écoliers. A l’ouest de l’établissement, une majestueuse construction, édifiée dans le plus pur style colonial : le logement administratif du directeur. Certainement, l’une des plus belles et imposantes maisons des années 40. Vraiment rien à envier à celle du commandant français de l’époque, érigée sur la «montagnette », un autre nom d’Aleg. Son intérieur, parsemé de carreaux, ses toilettes à baignoire et ses vastes salles témoignaient du prestige dont jouissaient les instituteurs de ces années-là. Les anciens élèves du début et de la fin des années 70 retiennent encore leur nom : feu Sall Khalidou, le député Sy Samba, messieurs Ndiouk et Sylla (ancien journaliste à Radio Mauritanie), feus messieurs Sarr Idrissa dit Aramango, Mohamed Derdèche, Ely Ould Breïhalla et bien d’autres encore.
Un présent lamentable2013. Dans l’enceinte de la cour, rocailleuse, les tuyaux rouillés d’un robinet mènent un combat inégal avec le temps, à côté de quelques plants, épars, qui tiennent lieu de jardin scolaire. Dans certaines classes, on peut encore lire, sur les murs, les vestiges, à peine lisibles, de quelques-uns des célèbres instituteurs de l’école. Aujourd’hui, l’école 1 compte huit classes. Mais, si les murs restent debout, comme je l’ai dit tantôt, l’ensemble tombe en complète décrépitude : les plafonds menacent de s’écrouler, la plupart des portes et fenêtres ont disparu, les tableaux noirs sont tant délabrés que l’écriture du plus appliqué des instituteurs ressemblerait à des hiéroglyphes. Sans eau ni électricité, la plus prestigieuse de la dizaine d’écoles de la ville ressemble à un établissement de brousse. S’élevant contre cette déchéance, le bureau de l’association des parents d’élèves de l’école 1 entend mobiliser les anciens élèves et toutes les autres bonnes volontés, afin de réhabiliter les lieux : réfection des classes, dotation en chaises et bureaux pour le directeur et les instituteurs, réouverture de la bibliothèque, suivi et entretien du jardin scolaire, réinstallation de l’eau et de l’électricité, etc. Pour que l’école 1, lieu de tant de souvenirs, vivier d’où sortirent tant de cadres, dont le premier Président démocratiquement élu de la République, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, redevienne ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être : une forteresse de savoir où se forment et se construisent les générations d’aujourd’hui, futurs bâtisseurs de demain.
Sneïba El Kory
Les directeurs de l’école 1 d’Aleg, de 1939 à nos joursCertains sont, bien évidemment, des étrangers. 1. Diouf Ismaïla 2. Omar Hamet 3. Guèye Amadou Moustapha 4. Monsieur Leguinek 5. Monsieur Tefahi 6. Mohamed Vall Ould Bennany 7. Bababcar Fall 8. Ben Amar (Ahmed) 9. Mohamed Ould Babacar 10. Cheikh Ould Haïbelty 11. Bâ Amadou Chouaïbou 12. Mohamed Derdech 13. Isselmou Ould Oudaâ (père de l’actuel ADG de la SNIM) 14. Cheïbetta Ould Oudaâ 15. Mohamed Moustapha Ould Cheikh Mouhamedou 16. Ethmane Ould Baba Ould Saïd (actuel directeur).
Quelques prestigieux anciens élèves1. Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi (ancien président de la République) 2. Bacar Ould Ahmedou (ancien fonctionnaire international, ancien député) 3. Ismaïl Ould Amar (ancien ADG de la SNIM) 4. Isselmou Ould Tajeddine (PDG de la BCI) 5. Dah Ould Abdi (ancien ministre des Affaires étrangères) 6. Khadjettou Mint Boubou (ancien ministre) 7. Sidi Ould Jaber (un des premiers docteurs en mathématiques du pays)
Source : Le Calame (Mauritanie)
mardi 12 mars 2013
Brakna : Moughataa de Bababé et Boghé.
Ainsi les sources de conflits ont été citées dans les cas suivants :- L’héritage - Les mariages et divorces - Le voisinage (dans le village ou entre deux villages) - Le foncier - L’exercice politique (chefferie, élection, gouvernance, gestion, leadership) - Pastoralisme et agriculture - Ethnie, race et ou sectes religieuses - Ce genre de conflits débouche en général sur La dislocation des familles et séparation des villageois et parents - Une situation de confrontation et d’éternel combat. Il n’y aura pas de place aux initiatives de développement
Le dicton en poular « hare ko soogno » le conflit est synonyme de pauvreté »- Des pertes en matériels et en vies humaines - Des impasses dans les gouvernances et gestions à cause des tensions sociales qui prévalent - Impossibilité de consensus ou tout compromis L’impossibilité de d’entretenir des actions de solidarité et d’entraide ainsi que de collaboration gagnant/gagnant Les participants ont observé des conflits et soulevé quelques inquiétudes. Les populations peulhs et Maures vivants dans ces localités ont vite compris que seule l’union fait leur force et qu’il est possible d’œuvrer ensemble pour un avenir radieux, du coup ils considèrent que la meilleure façon d’y parvenir est de se présenter à des postes électifs dans leurs localités communes (municipales, législatives etc.…). Ils pensent tous que c’est possible de s’unir de s’entendre et d’œuvrer ensemble pour le développement de leur localité. Désengagement de l’Etat dans certaines contrées et conflits L’Etat ménage des gros poissons (politiciens)
Délit de facièsDes réticences par rapport au règlement du problème foncier Enfin au cours de la séance les participants ont pris les engagements suivants : Désigner pour chaque village une personne pour participer aux formations des relais sur la prévention des conflits à Bababé. Entre autres problèmes soulevés par les participants la lancinante question liée à l’enrôlement et la stigmatisation des rapatriés qui sont considérés comme des parias chez eux. Ils on enfin présenté la liste des personnes relais choisies par les villages concernés
Espoirs et visions de la communautéLes populations peulhs et Maures vivants dans ces localités ont vite compris que seule l’union fait leur force et qu’il est possible d’œuvrer ensemble pour un avenir radieux, du coup elles considèrent que la meilleure façon d’y parvenir est de se présenter à des postes électifs dans leurs localités communes (municipales, législatives etc.…). Elles pensent tous que c’est possible de s’unir de s’entendre et d’œuvrer ensemble pour le développement de leur localité En guise de Conclusion, les participants ont émis des souhaits de : - Bénéficier ce genre des débats et entretiens de manière régulières et pérennes, - Avoir au sein de leur village et communautés des personnes formées et encadrées à cet effet Ainsi ce canal les aidera à résoudre leurs problèmes par eux-mêmes - Les populations des villages ciblés et visités ont plaidé également pour le renforcement de leurs capacités et leurs mécanismes communautaires. Ils ont demandé à ce que les chefs de village, et les leaders hommes et Les trois débats ont regroupé plus de 60 participants, tous des leaders communautaires dans leur village, Une autre vague de réunions est programmée prochainement dans les sites et villages de la Moughataa de M’Bagne. Femmes soient formées et dotés de documentation relative à la prévention des conflits.
Armiya DémSource : Armia Dem
Nouadhibou : Arrestation des membres d’un réseau de trafiquants de stupéfiants.
Source : ANI (Mauritanie)
lundi 11 mars 2013
Baba Ould Cheikh Sid’Elmoctar Alkounti condamne l’assassinat de Ould Bady dans le nord du Mali
Source : ANI (Mauritanie)
Zouerate : Des affrontements entre les forces de l'ordre et les habitants de Hith
Source : Alakhbar (Mauritanie)
Un policier victime d’un coup de poignard
Source : Rédaction Cridem
Les militants de l’IRA sont arrêtés pour propos injurieux et menace contre des magistrats (Source proche de la justice)
Source : ANI (Mauritanie)
Brakna : à Boghé, Bababé et Mbagne, Aicha Vall mint Vergés est satisfaite du parcours
Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel CP le Véridique
samedi 9 mars 2013
L’A D I G s’inquiète pour les malades et les populations du département de Mbout au Gorgol.
Source : Amadou Bocar Ba
vendredi 8 mars 2013
Tagant : Organisation à Tidjikja d’une course cycliste par la délégation régionale de la CJS
Khalil Sow-Tagant
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