jeudi 17 juin 2010

Trafic d’œuvres d’Art et antiquités : L’axe Atar Montpelier:





On y prête pas vraiment garde mais la Mauritanie n’est certainement pas épargnée par le pillage des antiquités et œuvres d’art. Certaines annonces faites par des anonymes sur des sites comme «toutypasse» conforte l’idée que ce n’est là, malheureusement, que la partie visible de l’iceberg.

Le doute était fort présent. Des preuves s’accumulent. L’activité touristique a charrié avec elle des brigands à la recherche des trésors enfuis ou non dans le pays et notamment en Adrar où se développerait aujourd’hui, un véritable trafic d’exfiltration d’objets d’art. Les trafiquants de tout acabit y parviennent souvent sous le couvert d’une activité touristique dans la région. Ils se faufilent parmi les touristes; s’ils n’ont pas élu domicile dans cette région.

Manuscrits, fléchettes, portes et malles millénaires, bifaces, tout y passe (le choix du nom du site n’est pas fortuit). Il y a deux jours, suite à une alerte anonyme, l’on découvrait sur ce site une annonce N° n°339102 déposée par un (e) «Tropique » qui proposait des bifaces de Mauritanie. Deux jours plus tard l’annonce avait disparu. Adjugés? Sûrement !

La faute aux mauritaniens

Les mauritaniens n’ont pas un goût particulier pour les œuvres d’art. Et le département de tutelle semble s’en préoccuper le dernier. Mais il faut ajouter à ces anomalies dans un pays qui recèle de véritables trésors d’antiquité que la corruption et la complicité des responsables de contrôles à la frontière favorisent la floraison de ce trafic.

Mais une autre explication à ce phénomène de trafic de biens culturels est donnée par Philippe Backé auteur d’une enquête sur le pillage des objets d’art (Un trafic particulièrement lucratif, le Monde Diplomatique) « est essentiellement dû à la spéculation acharnée qui règne dans les pays abritant les grands marchés artistiques de la planète. Les nations du Sud sont particulièrement frappées par la perte souvent irréparable de leur patrimoine culturel. Quant aux conventions internationales, elles se révèlent d’une piètre efficacité ».

La Mauritanie ne déroge donc pas à cette explication. Pire encore, aucun contrôle, encore moins des mesures conservatoires ne sont prises pour sauver ce qui peut l’être encore. On assiste impassibles donc à une véritable hémorragie des objets d’art.

Certaines sources qui préfèrent garder l’anonymat indexent une aubergiste notoirement connue dans la région pour s’adonner à ce trafic qui rapporte gros et pour lequel elle n’est pas inquiétée outre mesure. D’origine française, cette aubergiste aurait mis avec l’aide d’une amie un trafic florissant entre Atar et Montpelier. Elles collectionneraient les bifaces mal acquis en Mauritanie et que la loi protégerait pour les revendre en France.

Les mêmes sources estiment d’ailleurs que « toutes deux s’enrichissent sur le dos des Mauritaniens avec la complicité de beaucoup de responsables Mauritaniens de l’IMRS, ministère du tourisme services des douanes » qui leur assureraient la protection. Une protection qui ne saurait être gratuite… C’est ce qu’on appellerait vendre l’histoire d’un Peuple.

Nous y reviendrons

JD

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Source :
Le Quotidien de Nouakchott

Le Wali de l’Assaba à Sahara media : Le maintien des élèves de Guérou a été décidé en concertation avec les élèves et leurs parents




Le Wali de l’Assaba, Mohamdi Ould Sabari, a confirmé que les mesures prises par les autorités et qui ont consisté au maintien des élèves dans une école de Guérou, dans le cadre des examens d’entrée en sixième, ont été prises en concertation avec les élèves eux même et leurs parents. Dans une communication téléphonique avec Sahara media, Mohamdi ould Sabari a précisé qu’il s’agissait de mesures réglementaires dénotant du souci des autorités publiques de préserver la confidentialité des matières de l’examen. Le Wali a ajouté que ces mesures ont été prises en raison d’une erreur de distribution de matière qui a eu lieu au niveau de cette école de Guèrou et qui a amené à distribuer une matière qui n’était pas programmée pour ce jour mais pour le lendemain. Cette erreur ayant engendré, de fait, un décalage par rapport aux autres établissements nationaux qui doivent, en même temps, recevoir les mêmes épreuves et rendre, en même temps, leurs copies et de crainte que ne se produisent des fuites par rapport à cette matière, les autorités ont décidé de maintenir les élèves de cette école sur place jusqu’à la fin des examens.

Les USA financent la réhabilitation de la mosquée historique de Tichitt en Mauritanie:




Les Etats-Unis d’Amérique ont offert à la Mauritanie une subvention de 62.169 dollars destinée à financer la réhabilitation de la mosquée de Tichitt, l’une des quatre villes historiques de Mauritanie, a appris APA de source diplomatique à Nouakchott.

L’accord portant sur cette subvention a été signé mardi à Nouakchott par le directeur de la Fondation nationale pour la sauvegarde des villes anciennes de Mauritanie, Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Lemine, et l’ambassadeur US dans ce pays, Mark Boulware, précise un communiqué de l’ambassade.

Selon ce communiqué reçu par APA à Nouakchott, le financement en question provient du Fonds spécial de l’ambassadeur pour la préservation culturelle. Ce Fonds est un programme du Département d’Etat qui a pour vocation d’aider à la conservation de l’héritage culturel précieux de l’humanité à travers le monde.

La subvention américaine « permettra aussi de promouvoir la grande expertise des artisans qualifiés de la ville de Tichitt et les incitera à transférer leur savoir-faire aux générations futures », souligne l’ambassade.

Située dans le centre-sud du pays, Tichitt, tout comme les 3 autres villes historiques de Mauritanie (Wadane, Chinguetti et Walata), est inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1996.
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Source :
Agence de Presse Africaine

mercredi 16 juin 2010

Lycée de Boghé : Les meilleurs élèves récompensés:




L’enceinte du Lycée de Boghé a abrité le dimanche, 13 juin une cérémonie de remise de prix aux élèves du collège et lycée en présence des directeurs des deux établissements, des responsables des bureaux de parents d’élèves et du corps professoral.

Avant la remise des prix aux récipiendaires, le directeur du lycée, monsieur Diaw Moussa a prononcé une allocution dans laquelle, il a cité les problèmes rencontrés par son établissement comme les ordures déposées aux abords du lycée, le manque d’équipements et d’outils pédagogiques, la vétusté des infrastructures.

Il a également dressé un bilan positif marqué par un taux d’admission en classe supérieur de 83,75% dont 73,33% d’élèves issus de la réforme de 1999. Réforme pourtant très décriée par beaucoup d’acteurs du monde scolaire.

Monsieur Diaw a appelé à l’application du principe de la sanction et de la récompense dans la profession en indiquent au passage que les promotions injustes ont fini par décourager voire saper le moral des vieux enseignants poussant même certains jusqu’à la démission.

Il a félicité les élèves récipiendaires en les encourageant à persévérer dans cette lancée. Sidi Mohamed O Youssouf, élève en 1ère A1 s’est classé premier parmi les six meilleurs des deux établissements et il est suivi de Marième Mint Srabé. Ces deux élèves ont décroché les Prix Spéciaux.

Quant au Prix de la discipline, ils reviennent aux demoiselles, Aminata Mamadou diop de la 4ème A1 et Peinda Alassane Bâ de la 5ème A1. Enfin le Prix de l’Assiduité est revenu à Ramatoulaye Ciré de la 4ème A3 et Mohamed Moustapha O Abdallahi de la 6ème A1.

Un poste électrique s’embrase !

Le dimanche vers 10 heures du matin, un poste de transformation électrique situé presque à l’angle du centre sanitaire de Boghé a prix feu provoquant une grande panique chez les habitants du quartier de l’Escale et les nombreux fonctionnaires, commerçants et acheteurs qui fréquentent tous les jours cet endroit.

L’embrasement du poste électrique qui transforme et distribue l’énergie de haute tension vers le village de Thiénel et le quartier de Boghé Escale qui concentre lui le centre de santé, les services de sécurité, la préfecture, la mairie, le marché entre autres a provoqué une coupure générale du courant dans toute la ville. Heureusement, l’intervention rapide des agents de la SOMELEC appuyés par plusieurs bonnes volontés a permis de circonscrire les flammes. Mais l’apport des hommes en blues blanche munis de leur extincteur a été déterminant dans la maîtrise de l’incendie nous dit-on au moment de notre arrivée sur les lieux bien après l’incendie qui n’a fait ni dégât ni victime.

L’amorçage serait à l’origine de cet incendie selon monsieur Abdoul Sem responsable du réseau de distribution de l’agence locale de la SOMELEC. L ’amorçage dit l’agent de la Somelec est une perte d’énergie au niveau d’une connexion, laquelle provoque des réchauffements. Et une fois que ce réchauffement entre en contact avec des plastiques, le feu déclenche.

Pour lui la vétusté des machines et du réseau et le manque d’entretien ne justifient pas ce qui s’est produit. Et pourtant, la fois dernière, une coupure d’un câble électrique de haute tension situé sur la digue reliant Boghé Escale à Boghé Dow avait plongé la ville dans le noir pendant plus de 24 heures. Il faut toujours attendre une intervention d’une équipe envoyée de Nouakchott par la direction générale pour dépanner ou réparer. Et cette fois-ci, c’est le cœur de la ville qui est attient.

La vie tourne au ralenti dans la ville et les amateurs du foot se lamentent en cette période de coupe du monde.

Thièrno Souleymane Cp Brakna


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Source :
Le Quotidien de Nouakchott

Trarza Un Wali Mouçaid relevé de ses fonctions



Abdellahi Saoudi Ould Dah, Wali Mouçaid Chargé des Affaires Administratives au Trarza a été relevé de ses fonctions, hier soir. La mesure a été notifiée aux autorités par message.

Aucune information pour le moment pour expliquer ce limogeage, opéré visiblement, sous le sceau de l’urgence. L’intéressé se trouvant, alors, en déplacement en Assaba, serait en route vers Rosso pour la passation de service.

canalrim.info

mardi 15 juin 2010

Retard dans l'octroi des licences de pêche mauritanienne : : Les pêcheurs de Guet Ndar occupent la rue à Saint-Louis.



Dégoulinant de sueur, ils ont été hier des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants originaires du quartier de pêcheurs Guet-Ndar à battre le macadam dans les rues de Saint-Louis, en protestation contre le retard noté dans l’octroi des licences de pêche par la Mauritanie.

(Correspondance) - Vêtus de rouge, des milliers de Guet-Ndariens ont envahi, hier dans la matinée, les grandes artères de la ville de Saint-Louis. Cette marche s'explique, selon nos interlocuteurs, ’par le retard noté dans l'octroi des licences de pêche mauritaniennes.

Déjà que les trois cents licences qu'on nous accorde, traditionnellement, sont insuffisantes car ne constituant que le quart de nos espérances. Si, en retour, elles ne nous parviennent pas à temps, c'est la catastrophe pour nous autres professionnels de la pêche’, martèlent-ils.

Aujourd'hui, assènent ces hommes, femmes, jeunes et vieux, dégoulinant de sueur, ‘à cause de cette situation des plus déplorables, nous vivotons et nageons dans des difficultés. En réalité, pour des populations de pêcheurs, dès que les moteurs des pirogues sont à l'arrêt, c'est le chômage qui pointe le bout de son nez’, font-ils noter en substance. Non sans préciser : ‘Nous réclamons, désormais, que le président de la République se saisisse du dossier pour que ces problèmes liés à l'octroi des licences de pêche mauritaniennes soient dépassés, définitivement’.

Par ailleurs, parmi les manifestants, l'on ne manque pas de fustiger l'attitude ‘des négociateurs qui ne tiennent pas compte de nos préoccupations’, accusent-ils. Et les pêcheurs de Guert Ndar de réitérer leur désir sans cesse exprimé, ‘d'être partie prenante dans les négociations avec les frères et partenaires mauritaniens. Les pêcheurs qui officient en haute mer, doivent faire partie de la délégation qui va négocier les conditions d'octroi de ces licences de pêche’.

Gabriel BARBIER

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Source :
Walfadjri (Sénégal)

Au Brakna : l’inauguration de trois marchés communautaires pour les rapatriés :




Dans la matinée du Lundi 14 Juin 2010, Une délégation du Ministère de l’Intérieur conduite par Monsieur Cissé Abdel Kader Jeylani Conseiller technique du Ministre, s’est rendue au Brakna dans les moughataa de Bababé et de Boghé pour présider l’inauguration de trois marchés communautaires réalisés dans le cadre d’un programme dit « Programme de Prévention des Conflits et Renforcement de la Cohésion Sociale » dans les sites de rapatriement de Sénékouna, Mourtogal et Hamdallaye.

Une mission de l’Agence nationale d’appui et d’insertion des refugiés ( ANAIR) conduite par son Directeur Général Monsieur Ba Madine et comprenant le Directeur administratif et Financier Moustapha Ould Eleya, les représentants régionaux au Brakna Mohamed Ould Sidi Mohamed, et Moussa Demba Barry représentant au Gorgol a également fait le déplacement.

Les deux délégations étaient accompagnées d’une mission du Programme des nations unies pour le Développement (PNUD) conduite par la représentante-résidente. Madame la wali du Brakna entourée des hakems de Bababé et de Boghé a pris part à cette grande mission.

Le maire de Aéré Mbar et celui de Boghé se sont joints à la délégation. Le HCR (Haut commissariat des nations unies pour les refugiés) et plusieurs autres invités étaient aussi présents à la cérémonie d’inauguration des marchés communautaires.

Une équipe de la télévision de Mauritanie, de l’Agence Nationale d’information (ANI) et de Radio Mauritanie ( antenne de Aleg) le Véridique ont couvert l’évènement.

Cette inauguration marque la fin des travaux de construction de trois marchés communautaires, abritant deux hangars pour les femmes (vente de légumes et atelier de teinture), deux boutiques communautaires (vente de glaces et divers) et un dépôt de gaz. A cela s’ajoute la réalisation de deux terrains de foot ball, dans les sites de wendou Edy et de sénékouna. Ces réalisations sont destinées à rapprocher les deux communautés rapatriées et populations d’accueil notamment les populations d’accueil de Roti (Mourtogal), de Medina ( Site de Senekouna), et Mouphtah Elkheir.

D’un coût global de 35 millions d’Ouguiya environ, ces constructions et leurs équipements, sont pris en charge par le Programme Prévention des Conflits et Renforcement de la Cohésion Sociale, dont la mise en œuvre est conjointement assurée par l’ANAIR, le PNUD et le Commissariat aux Droits de l’Homme, à l’Action Humanitaire et aux Relations avec la Société Civile.

Ce programme, financé par le Royaume d’Espagne dans le cadre de l’atteinte des objectifs du millénaire (OMD), a pour objectif de prévenir les risques de tensions, à travers la promotion de la cohésion sociale et de la citoyenneté, la mise en place de mécanismes de règlement de conflits, l’amélioration des revenus des bénéficiaires et le renforcement des capacités des acteurs dans le domaine de la prévention et de la gestion des conflits.

La cérémonie était grandiose et bien réussie, la population d’accueil et les rapatriés venus très nombreux ont réservé aux délégations un accueil chaleureux et sincère empreint d’une joie immense d’avoir obtenu un marché équipé, dans leurs villages respectifs.

Les représentants régionaux de l’Anair ont démontré de grandes qualités de mobilisation et d’organisation réussissant à installer une symbiose parfaite entre les populations d’accueil et leurs frères rapatriés.

Après avoir visité les trois sites de Sénékouna (lieu de la cérémonie), Mourtogal et Hamdallaye, les délégations se sont rendues au Domicile du Préfet de Boghé pour déjeuner avant de reprendre la route vers Aleg et Nouakchott.

Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel
CP Le Véridique au Brakna

Commune de Zouerate: inauguration de la maison de la société civile:




La Commune de Zouerate et la Fondation Snim offre à la société civile de Zouerate un centre de ressources, d’aide, de formation et de documentation dénommé Maison de la Société Civile qui dispose entre autre de 10 ordinateurs et une connexion internet.

L’inauguration de cette nouvelle structure a eu lieu hier le 14 juin 2010 à la maison des jeunes communale de Zouerate en Présence du Maire de Zouerate Monsieur Yacoub Ould Salem Vall et des conseillers municipaux, des autorités locales et à leur tête le Wali Mouçaid Chargé des Affaire économiques, des chef de services régionaux et d’une forte délégation de la Snim avec la présence de l’Administrateur Directeur Général de la Snim Monsieur Taleb Ould Abdivall, du Directeur du Siège d’exploitation de la Snim et de plusieurs autres directeurs et cadres .

On note également la présence le Directeur Général de la Fondation Snim Monsieur Bah Ould Gah.

On note également l a présence de la société civile regroupée au sain du Collectif des ONGs du Tiris Zemmour ( COTIRIS) qui est venue assister à cette cérémonie qui marque une étape importante vers un appui réel à leurs organisations.

Dans un discours prononcé à l’occasion, le Maire de Zouerate a remercié la Fondation Snim pour son appui à la société civile qui selon lui a besoin d’un appui institutionnel pour mieux jouer son rôle qui complète l’action de l’Etat et des collectivités. Il a aussi rappelé les actions déjà réalisés par cette fondation.

A son tour, le Directeur Général de la fondation Snim , a fait un bref discours dans le quel il a donné des explications sur les objectifs de la Fondation et les actions réalisés.

La fondation Snim a été crée en mars 2007. Elle se fixe comme objectif principal l’amélioration des conditions de vie des populations vivant le long du couloir du chemin de fer qui relie Zouerate ville minière à Nouadhibou la capitale économique de la Mauritanie. Cette institution a participé à la distribution de médicaments essentiels, la construction de salles de classes, la réfection d’écoles et la fourniture de matériels scolaires de même qu’elle a financé d’importantes infrastructures dans les régions du nord sur l’axe Zouerate Nouadhibou.

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Source :
Abdallahi Dieng Ould Cheikh

lundi 14 juin 2010

Concours d’entrée en 1AS /Les candidats d’Aghlembit n’ont pas composé



Les parents d'élèves d’Aghlembit, localité du Tagant relevant de la commune de Tensiqh, viennent finalement de mettre leur menace en exécution en empêchant leurs enfants de se rendre à Nbat pour subir les épreuves du concours d’entrée en 1AS. Malgré les explications avancées par les autorités éducatives régionales et malgré les pressions exercées sur eux par l’administration, ils sont restés inflexibles et sont allés jusqu’au bout de leur logique. C’est ainsi que sur les 82 candidats inscrits au niveau du centre de Nbat, 46 candidats seulement se sont présentés.
Il convient toutefois de rappeler que ces parents d’élèves récusent fermement le choix de Nbat pour abriter le centre d’examen commun aux candidats d’Aghlembit, Nbat et Ouweynatt Rji. Ils exigent que ce centre soit ouvert chez-eux du fait de l’importance numérique de leurs candidats. Argument qui ne convainc pas les responsables régionaux de l’éducation jugeant plus pratique d’ouvrir le centre à Nbat, localité équidistante d’Aghlembit et d’Ouweynat Rji. D’ailleurs, le Dren a même mis à la disposition des candidats d’Aghlembit un véhicule pour les transporter jusqu’à Nbat située seulement à 4 km. Le Hakem de Tidjikja a lui-aussi joué les bons offices en se rendant à Aghlembit pour convaincre les parents d’élèves de laisser leurs enfants se rendre à Nbat. Mais rien n’y fait, ces derniers sont restés fermes dans leur décision de retenir leurs enfants à la maison.
Pourtant des centres similaires à celui de Nbat ont été ouverts partout dans la région. C’est le cas de certains centres de Tidjikja-ville qui reçoivent des candidats d’Imoudrane (50km), Temtemlel (35 km), Adderoum (35 km) Dboulgui (18km). Ces derniers, contrairement à leurs camarades d’Aghlembit, se sont rendus à Tidjikja à leur propre frais.
Seulement, certains antécédents sociopolitiques pourraient être à l’origine de l’intransigeance affichée par les habitants d’Aghlembit. De sources bien informées un conflit couve depuis quelques années entre les habitants d’Aghlembit et ceux de N’bat. Les premiers accusant régulièrement leurs voisins de vouloir leur faire ombrage. Diamétralement opposées lors de la dernière implantation de l’UPR les deux localités ont continué à se regarder en chiens de faïence et les plaies de leur rancœur ne se sont pas encore cicatrisées.
Il n’empêche qu’il est inacceptable que des élèves candidats ne puissent pas concourir du fait d’une incompatibilité d’humeur entre ainés mus par des considérations qui n’ont rien à voir avec l’école.
Comme, il est tout aussi vrai, que pour le choix des centres,il est plus recommandé de faire preuve de souplesse et de discernement.
Khalil sow
Khalil1965@yahoo.fr

Visite de Ould Abdel Aziz au Trarza : quand les hypocrites répondent présents !





Chaque fois qu’un chef d’Etat se déplace à l’intérieur du pays, il se voit agripper par les gens de Nouakchott, comme des mouches sur une charogne.
Les populations des localités visitées, n’auront même pas droit à la parole, pour exposer leurs problèmes, ni à de l’espace pour s’asseoir et assister au meeting , parce que tout simplement , des nuages d’ hypocrites nouakchottois , viennent usurper leurs droits !
C’est ce qui vient de se passer ce mercredi 09 juin, lors de la visite présidentielle à Rosso, pour le lancement de la campagne agricole, entre autres inaugurations.
On a même vu des vrais faux chefs" de tribus", se bagarrer avec des éléments de la gendarmerie nationale, pour se forcer une place en première rangée en lançant « je suis chef général des Awlad Demane . . » D’autres disaient : « je suis le maitre d’une Mahadra … »
A qui revient la responsabilité de ce flux en épis épars ? C’est au Wali d’ abord, en tant que la plus haute autorité régionale ! Il devait donner la priorité aux représentants des populations qu’il administre pour acceuillir le président de la république, en fermant la porte à toute cette horde déchainée , composée d’ hommes et de femmes fripouilles qui veulent être vus à la télévision saluant le président de la république .
La plupart de ces dames et messieurs ont les mains sales d’un passé récent où la gabegie était leur unique univers d’action.
Si Ould Abdel Aziz veut apporter un changement au pays, il devait mettre fin à ces déplacements des truands de Nouakchott qui accaparent tous les programmes des visites présidentielles !
Il faut impulser un style nouveau aux Walis et Hakems qui doivent sélectionner les listes des demandeurs d’audiences, parmi les habitants de la wilaya et qui y résident réellement …
Publié par Lakhbaar Tebgue Vi Dar

dimanche 13 juin 2010

Du Plumpy’doz pour 9187 enfants du Tagant



Une campagne préventive de lutte contre la malnutrition vient d’être enclenchée au Tagant sur l’initiative du Ministère de la santé et avec l’appui de l’UNICEF.
En sont bénéficiaires, les enfants du Tagant de la tranche d’âge de 6 mois à 3ans, quelque soit leur état nutritionnel . Ces derniers reçoivent une dose d’un supplément nutritionnel dénommé Plumpy’doz administrée le 13 de chaque mois pendant 3 mois (Juin, Juillet, Aout).
La cérémonie du lancement officiel de cette opération a été présidée par le Wali du Tagant Monsieur Mohamed Ould Moustapha Ould Mohamed Vall qui, lors de son discours, a rappelé les grandes lignes de la politique l’Etat en matière de santé publique et l’intérêt particulier qu’il accorde aux populations les plus vulnérables. Pour sa part, le Directeur régional à l’action sanitaire a mis l’accent sur les aspects techniques liés à l’emplacement des sites, leur composition et le nombre d’équipes mobilisées pour chaque Moughattta. Il a également fait une présentation exhaustive du Plumpy-Doz (composition et mode d’administration).
Rappelons que 9187 enfants sont ciblés au niveau du Tagant. Ces enfants reçoivent leur dose dans 62 sites fixes (22 à Tidjikja, 38 à Moudjéria et 2 Tichitt). Et les enfants qui habitent la zone rurale sont couverts par 14 équipes mobiles qui vont sillonner 130 localités (60 villages dans la Moughattta de Tidjikja, 74 villages dans la Moughattta de Moudjéria et 6 villages dans la Moughattta de Tichitt).
Enfin, selon le Drass du Tagant, toutes les mesures sont prises pour dépister et prendre en charge les malnutris sévères mais qu’aucun cas de ce genre n’a encore été décelé.
Khalil sow
khalil1965@yahoo.fr

Festival International de Cultures Urbaines de Dakar : la Mauritanie sera à la fête



Notre confrère Ahmed Ould Bettar invité d'honneur

Il ne reste plus que 5 jours, avant que le festival International de Cultures Urbaines ne s’ébranle dans la capitale sénégalaise, annonçant déjà un éclatant succès dans la sous-région et chez les hôtes d’outre-mer qui prendront part cette année aussi à ce grand rendez-vous du hip hop, qui draine de plus en plus d’admirateurs de tous les horizons, particulièrement chez les européens.

Cette année 2010, inaugurera la cinquième édition de ce festival qui dépasse les frontières et qui brillera par ses violons, accordéons et sons dans les quartiers populaires de la banlieue dakaroise tels que Pikine, Rufisque, Keur Massar, Sicap Mbao et Ouakam.

Bon nombre de disciplines musicales et artistiques seront au menu du programme de ce festival, qui fait de la diversité un leitmotiv aux fins de satisfaire le maximum d’admirateurs et de fans, dont les groupes trouvent chacun son gout dans une musique particulière.

C’est donc pour parer à tous les gouts que les artistes se produiront dans tous les visages modernes et classiqus du hip hop tels que le Rap, Slam, Djing, graffiti, breakdance, beatmaking.

Ce qui fait plus la renommée de ce festival 2h est son profil de gratuité à 100% est également sa vocation d’œuvrer continuellement à faire connaître et promouvoir les cultures des villes du continent africain, mais également de service de carrefour privilégié entre des artistes de plusieurs pays, pour échanger leur art et s’enrichir les uns des autres des expériences acquises individuellement par ces grands talents.

Selon des premières informations en provenance de la commission d’organisation de ce festival, outre les mégas concerts qui électriseront les foules, il y aura aussi des projections de films, des conférences mais aussi des ateliers de formations.

Notre confrère Ahmed Ould Bettar, qui avait récemment appelé au soutien public de ce type d’activités, dans lesquels des artistes mauritaniens prennent part, a été invité par le Festival 2H, à titre d’honneur, pour bien suivre la prestation de nos compatriotes à cette grande rencontre, où le hip hop local se mesure à ses confrères de la sous-région et des pays européens.

Nouadhibou : Des pêcheurs réclament leurs primes




Dans un entretien avec Canalrim, Mohamed Mahmoud Ould Zeini, représentant du Syndicat Libre des Travailleurs de la Mer, s’est insurgé contre le groupe MAOA-Pêche qui emploie 600 personnes pour le non paiement de « primes d’ancienneté et un retard dans le règlement des primes de production ».

Une médiation entre l’employeur et les travailleurs, tentée par la Délégation Régionale Maritime, a avorté du fait que les montants réclamés ne sont pas provisionnés.

canalrim.info

Une mission médicale espagnole à Nouadhibou




Une mission médicale espagnole a commencé samedi des consultations médicales dans les centres municipaux de Nouadhibou où elle compte opérer, 10 jours durant, des interventions chirurgicales gratuites.

L'arrivée, vendredi soir, de la mission composée de 17 membres s'inscrit dans le cadre de la coopération entre le Rotary Arocas et la municipalité de Nouadhibou dans le domaine sanitaire.

Selon M. Jesius Souarez, chef de la mission, celle-ci vient annuellement depuis 12 ans en Mauritanie où elle a déjà effectué environ 40.000 consultations médicales et 100 opérations chirurgicales en ophtalmologie.

Il a ajouté que la mission est composée de médecins généralistes et de spécialistes en ophtalmologie, en pédiatrie, en dermatologie et en gynécologie.

AMI

Commune de Zoueirat : Partenariat avec la société civile

Dans notre édition du lundi 07 juin 2010 nous avions publié les points saillants
du bilan des réalisations de la commune présenté par le premier magistrat de la ville Zoueirat.
Dans son intervention, M. Yacoub Salem VALL a indiqué le partenariat primordial avec la société civile.

A cet effet, il a rappelé l’expérience des jema’as des 10 quartiers de la ville. Ces organisations choisissent leurs représentants de façon autonome et se réunissent pour faire les requêtes des populations. De ce fait, elles constituent un pont entre les populations et la Commune qui souhaite l’implication de la société civile dans le développement sous forme de démocratie participative. A cette occasion, et comptant sur cette expérience réussie, le Maire a annoncé un projet d’équipement pour une maison de la société civile qui élira domicile à la maison des jeunes, qui abrite déjà le cyber café communal, financé par la société PH.

Promotion féminine et lutte contre la pauvreté

Dans ce volet, Yacoub Salem VALL a précisé que l’ONG américaine A.F.D. a financé 09 coopératives féminines en Mauritanie dont 04 à Zoueratt, ajoutant que la grande partie des financements est réservée à la formation et l’appui technique des bénéficiaires. C’est dans cette rubrique a-t- dit que l’Association des handicapés de Zoueratt a bénéficié d’un financement de 26 Ms um pour une boutique communautaire et un pressing. Il a aussi réaffirmé que le dossier des retraités est en cours pour être financé.
M. Yacoub Salem VALL a enfin annoncé la tenue d’une table ronde sur le PDL( Programme de Développement Local) de la Commune de Zoueirat programmé le 20 Octobre prochain.

DJIBRIL SY CP/ Tiris Zemmour

samedi 12 juin 2010

Mauritanie/ Communiqué COD : crise environnementale




La coordination des partis de l’opposition en Mauritanie demande à l’organisation internationale chargée de la protection de l’environnement de s’impliquer d’urgence dans ce que la coordination de l'opposition appelle « une catastrophe environnementale à large rayon en Mauritanie ». Dans un communiqué publié ce jour et dont Sahara media a reçu copie, l’opposition dénonce « l’indifférence des autorités au lieu du contrôle des sociétés minières et notamment celles dans les activités sont liées à l’utilisation de produits toxiques nuisibles à l’environnement ». Dans son communiqué l’opposition fait cas des mises en garde lancées, par ses soins, à l’effet de prévenir les méfaits des produits toxiques sur les populations et que ses appels restent à ce jour sans échos.

La COD exige une enquête sur la mort suspecte de cheptel en Inchiri




Dans un communiqué qui nous est parvenu, la COD "exige une enquête diligente sur les cas de mort suspecte de têtes de bétail en Inchiri et sur la pollution de la nappe phréatique de la zone de Letfetar (Wilaya du Tagant)".

Ci-après le texte intégral de la déclaration :

La Wilaya de l’Inchiri a connu récemment la mort mystérieuse de plusieurs têtes de bétail, dont des camélidés qui paissaient dans une zone que de nombreux organes de presse ont confirmé être polluée par les déchets de certaines sociétés d’exploitation ou de recherche minière, qui profitent de l’incapacité du régime à gérer ce dossier sensible et de la négligence par les autorités gouvernementales concernées pour se débarrasser de produits dangereux comme le cyanure, sans aucun égard pour l’hygiène, ni pour la réglementation en matière de protection de l’environnement.

Il y a quelques semaines pourtant, la COD, représentée par certains de ses députés, avait tiré la sonnette d’alarme et mis en garde contre les risques inhérents aux comportements suspects de ces sociétés. Le gouvernement avait alors pris le parti de celles-ci, défendu leur point de vue et propagé leurs allégations dans les médias publiques, au lieu d’enquêter sur leurs activités par souci de la santé des citoyens et de la pureté de leur écosystème.

Maintenant que les effets négatifs de cette pollution environnementale apparaissent au grand jour, menaçant la vie de nos populations et notre cheptel, la COD :

1- Dénonce avec force la négligence par les autorités du contrôle sur les sociétés minières dont les activités sont liées à l’emploi de produits toxiques et polluants ;

2- Exige une enquête diligente sur les cas de mort suspecte de têtes de bétail en Inchiri et sur la pollution de la nappe phréatique de la zone de Letfetar (Wilaya du Tagant) ;

3- Lance un appel aux organisations non gouvernementales opérant dans le domaine de la protection de l’environnement, d’agir rapidement pour aider la Mauritanie à faire face à la crise environnementale visiblement de grande ampleur, mais que le gouvernement tente d’étouffer.

Nouakchott, le 10 juin 2010

La Commission de Communication

vendredi 11 juin 2010

Sagné/Maghama : Deux morts dans un puits




Deux hommes ont curieusement perdu la vie au fond d’un puits abandonnés. L’histoire s’est déroulée la semaine derniere, précisément lundi 31 Mai, dans la commune de Sagné, située à 45 km au sud de Maghama.

En cette période de fortes chaleurs, la recherche de points d’eau est une impérieuse nécessité, voire vitale pour les hommes et les bêtes. C’est ainsi que les habitants de NIAROUWAL(commune de Sagné) n’ont trouvé de mieux que de procéder au curage d’un puits laissé à l’abandon non loin de leur localité. Le premier à descendre au fonds du puits B.S (75 ans), poussa un grand cri puis ce fut le silence total. Le groupe au bord du puits, décida d’envoyer un « cobaye » en la personne de I .M (33 ans) pour s’enquérir de ce qui est arrivé au vieux. Une fois au fonds du puits, lui aussi se mit à crier ; puis ce fut le silence radio.
L’inquiétude se lisait sur tous les visages, et personne n’osa prendre la responsabilité de désigner un troisième candidat pour descendre dans le puits.
La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre dans toute la zone. La première autorité à se rendre sur le lieu du drame, fut le Commandant de la Brigade de Gendarmerie de Maghama suivi du Hakem de la Moughataa ; avant d’être rejoint le lendemain par le Procureur du Tribunal Départemental de Kaédi pour constater le drame.
Apres de multiples conciliabules, la décision de creuser un trou (puits) parallèle au puits maudit fut retenue. ALPHA BA, un jeune de Sagné alla demander les services d’une pelleteuse qui travaillait pour le compte d’un projet d’endiguement dans la commune. Une fois sur le lieu, la pelleteuse fit un large trou de 10 m de profondeur, parallèle au puits. Ceci permit aux corps des victimes de se déverser dans ce trou afin d’être remontés au dehors. Ces corps ne pressentaient aucune trace de morsure ou de piqûre de serpents venimeux ; contrairement à que les gens croyaient.
Toutefois, l’interprétation la plus plausible sur la cause de leur mort subite, réside dans la raréfaction de l’oxygène au fonds des puits en cette période de canicule. De plus, le fonds du puits en question est cerné par une haie en bois ; on sait bien que le bois dégage énormément de gaz carbonique.
En l’absence d’une autopsie, les causes exactes des ces décès restent inconnues.
Le même jour (Mardi 1er Juin), les deux victimes furent inhumées à Louguéré (localité située à 2 km à l’est de SAGNE)

DIALLO AMADOU
CP / MAGHAMA

Commune de Zoueirat : Partenariat avec la société civile

Dans notre édition du lundi 07 juin 2010 nous avions publié les points saillants
du bilan des réalisations de la commune présenté par le premier magistrat de la ville Zoueirat.
Dans son intervention, M. Yacoub Salem VALL a indiqué le partenariat primordial avec la société civile.

A cet effet, il a rappelé l’expérience des jema’as des10 quartiers de la ville. Ces organisations choisissent leurs représentants de façon autonome et se réunissent pour faire les requêtes des populations. De ce fait, elles constituent un pont entre les populations et la Commune qui souhaite l’implication de la société civile dans le développement sous forme de démocratie participative. A cette occasion, et comptant sur cette expérience réussie, le Maire a annoncé un projet d’équipement pour une maison de la société civile qui élira domicile à la maison des jeunes, qui abrite déjà le cyber café communal, financé par la société PH.

Promotion féminine et lutte contre la pauvreté
Dans ce volet, Yacoub Salem VALL a précisé que l’ONG américaine A.F.D. a financé 09 coopératives féminines en Mauritanie dont 04 à Zoueratt, ajoutant que la grande partie des financements est réservée à la formation et l’appui technique des bénéficiaires. C’est dans cette rubrique a-t- dit que l’Association des handicapés de Zoueratt a bénéficié d’un financement de 26 Ms um pour une boutique communautaire et un pressing. Il a aussi réaffirmé que le dossier des retraités est en cours pour être financé.
M. Yacoub Salem VALL a enfin annoncé la tenue d’une table ronde sur le PDL( Programme de Développement Local) de la Commune de Zoueirat programmé le 20 Octobre prochain.

DJIBRIL SY CP/ Tiris Zemmour

jeudi 10 juin 2010

Nouadhibou : Tenue de la deuxième assemblée générale de la commission nationale du dialogue social du secteur de la pêche





L’école nationale de la pêche à Nouadhibou a accueilli les travaux de la rencontre consultative sur le dialogue social en matière de pêche qui a réuni l’ensemble des opérateurs du secteur et ce, tant à travers ses composantes de la pêche artisanale qu’à travers ses composantes de la pêche industrielle. L’objectif de cette rencontre est de définir un programme d’avenir, tendant à améliorer les conditions de vie des travailleurs sur les flottes nationales, à assurer la sécurité des marins et à donner une vision élaborée sur le projet de développement durable du secteur. Cette rencontre qui profite notamment à l’union nationale de la pêche, aux syndicats et aux travailleurs relevant du domaine a été initiée par le BIT avec la collaboration du département de la pêche et d’agences espagnoles.